#VincentLambert: UNE MÈRE CRIE AU SECOUR. L’ENTENDEZ-VOUS?
Devant la presse et devant des diplomates du monde entier, une mère qui n’a plus aucun recours devant l’Injustice de son pays a crié au secours pour qu’on ne traite pas son fils pire qu’un chien.
En effet, ce dont il est question, c’est ni plus ni moins que de faire mourir un homme sans défense de faim et surtout de soif. Au moment où on prend tous les baby-boomers par la main pour leur faire boire de l’eau pour qu’ils évitent le coup de chaleur, on s’apprête à infliger un traitement inhumain et dégradant à un homme dont la seule faute est d’être un handicapé sans défense et sans même la possibilité de dire oui ou non.
L’enjeu est simple: le lobby des invertis partisans de la culture de mort veut la peau de Vincent pour le symbole. Le lobby maçonnique et satanique cherche à obtenir coûte que coûte la vie d’un homme pour un enjeu qui le dépasse. Vincent est un verrou qu’il faut faire sauter à tout prix car derrière ce verrou c’est la porte vers l’euthanasie de masse qu’on veut ouvrir. Nous saurons nous souvenir de la bienveillance du chef de ce prétendu État qui sait s’asseoir sur le droit international quand ça l’arrange. Vincent tu dois crever parce que tu coûtes. Or la clique oligarchique a besoin de cet argent pour accueillir les chances pour la France venus des confins de la Méditerranée pour animer la station St-Michel et le Bataclan.
Seigneur, ne leur pardonne pas. Ils savent ce qu’ils font!!!
Jacques Frantz
Ils ne le savent que trop bien, hélas ! Je rappelle ici ce mot du professeur Lucien Israël, auteur d’un livre magistral devenu introuvable malheureusement, dont le titre était « la vie jusqu’au bout »: « euthanasie, état nazi ». Étrange État dont le chef, procurateur pour la France de l’empire de la culture de mort, disait naguère ne pas avoir son mot à dire dans cette affaire, mais dont le gouvernement fait diligence pour se pourvoir en Cassation au seul motif de couper l’herbe sous les pieds des instances internationales, parce que la décision rendue ne lui convient pas… et dont le Premier Ministre, vous savez, celui qui, constitutionnellement, détermine et conduit la politique de la Nation, s’empressant de déclarer qu’il est désormais grand temps de se conformer aux dires de médecins qui affirment que la situation de Vincent est médicalement sans issue, ce dont personne à ce jour ne sait rien et qui a même de fortes chances d’être totalement faux ! Facile de se retrancher derrière une loi aux effets pervers certes largement prévisibles mais dont n’entrent ni dans la lettre ni même dans l’esprit le cas de Vincent et derrière lui, ceux des quelques 1500 personnes actuellement dans la même situation que lui en France. Ponce Pilate, reviens, on a les mêmes à la maison, et l’âme humaine n’a effectivement guère progressé depuis la barbarie romaine !
Tout cela est tellement bien dit.
Tellement mieux dit que j’aurais pu le dire moi-même.
Merci Isabelle. Puisse ta sagesse être entendue.