ГОВОРИТ МОСКВА ICI MOSCOU
Ce sont des mots simples, de bon sens, mais qu’il faut rappeler sans cesse, et ne jamais, sous aucun prétexte, se départir de cette vérité. Parce que si nous faisons la moindre concession à cette vérité, nous serons persécutés. La chaîne de télévision Cnews vient d’être condamnée pour avoir considéré l’avortement comme une cause de mortalité.
Le pédo-satanisme est le descendant direct de ce crime d’avortement. Je me demande d’ailleurs pourquoi j’emploie le futur. Persécutés, nous le sommes déjà. Voilà tout juste 15 jours, je rappelais à notre mémoire le Docteur Dor,
tellement courageux et tellement persécuté. Désormais, il existe un délit d’“entrave à l’IVG”. IVG fait plus propre. Plus administratif. Plus médicalisé. Plus aseptisé.
Elle est où la liberté d’expression quand vous n’avez même plus le droit d’exprimer une opinion sur le sujet ? Où donc est la prétendue démocratie dont on nous gave jusqu’à la nausée, quand le simple fait de dire la vérité sur le sujet ou de prier le chapelet vous envoie directement en prison ?
Le présent article a pour seul objet de mettre le mot “persécution” sur un sujet ô combien sensible. Parce que même dans notre camp, l’énoncer de ce mot fait peur. Pourtant, le prononcer, c’est déjà se défendre. À l’inverse, le réfuter, c’est se rendre vulnérable. Je les entends en effet déjà ceux qui disent “il exagère tout de même”. Et pourtant, la condamnation voire le racket dont CNews a fait l’objet est bien la preuve qu’il n’existe plus aucune liberté de parole sur la question.
Ça avait commencé tout doucement pourtant. Simone Jacob épouse Veil avait bien expliqué que ce serait dans des cas extrêmes… Tout serait fait pour que ce ne soit envisagé qu’en dernier recours… On connaît la suite. Ce qu’en revanche on connaît moins, c’est la tiédeur de l’Église catholique déjà minée par le relativisme. À peine plus de dix ans après Vatican II, on voyait déjà les premiers résultats. Il paraît que Mgr Marty avait été, en sa qualité d’archevêque de Paris, invité au dîner du CRIF et installé fort opportunément à côté de Simone Veil précédemment citée. Or le succube était alors ministre de la santé et de la sécurité sociale. Ça tombait bien car le Cardinal Marty avait un gros souci, la prise en charge médicale des prêtres. Ceux-ci n’étaient pas affiliés à la sécurité sociale pour des raisons techniques qu’il serait trop long d’expliquer ici. Néanmoins, Mme Veil aurait proposé d’examiner la situation avec une certaine bienveillance en échange d’un peu de modération sur sa loi en préparation.
Cette histoire m’a été rapportée et je ne peux donc l’attester avec certitude. Cependant, Simone Veil déclarera plus tard que si l’Église s’était réellement opposée, jamais la loi n’aurait été adoptée.
La loi sur l’avortement repose donc sur le mensonge, le chantage, l’intimidation et enfin la persécution. Bref, tout ce qu’aiment Satan et la gauche.
Cet article déjà trop long t’épargnera cher lecteur une liste, même non exhaustive, de tous les effets néfastes de l’avortement. En revanche, il faut bien savoir que tous les enfants de l’avortement sont vivants. Alors je sais que l’Église les met dans des limbes parce que non baptisés… Il y a des jours où l’Église ferait mieux de se taire et d’examiner ses responsabilités. Les enfants de l’avortement sont le Christ qu’on martyrise et qu’on outrage.
Ces enfants sont vivants et il faudra bien leur rendre compte.
L’avortement est le père de tous les crimes. Nous voilà prévenus.
Jacques Frantz
Le Salon Beige – mardi 19 novembre 2024 à 09:32
Trois femmes, un combat : Surmonter le traumatisme de l’avortement
Elles sont trois femmes courageuses qui partagent leurs expériences bouleversantes avec l’avortement. Valérie, Amélie et Noémie racontent avec émotion leurs parcours, de la décision difficile d’avorter aux conséquences dévastatrices sur leur vie. Elles révèlent comment elles ont trouvé la guérison et la paix grâce à leur foi en Dieu, transformant leur douleur en force pour aider d’autres femmes. Ces témoignages puissants mettent en lumière les pressions sociétales, le manque de soutien et les séquelles émotionnelles de l’avortement, tout en offrant un message d’espoir et de rédemption. Une vidéo qui questionne profondément notre société et invite à la réflexion sur la valeur de la vie.
Amélie et Valérie ont fait partie d’un groupe de 17 femmes ayant témoigné de leur IVG devant des parlementaires entre février et mai 2024, à l’initiative du European Centre for Law and Justice (ECLJ), association basée à Strasbourg
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Le regretté Pr Jérôme Lejeune, lui aussi persécuté en raisons de ses prises de position sur le sujet, notamment concernant l’assassinat prénatal des enfants atteints de trisomie 21, disait que si jamais l’Église catholique venait un jour à valider l’avortement, alors il cesserait d’être catholique. Il ajoutait que rien ne saurait justifier un tel crime puisque dès sa l’embryon possède déjà toutes les propriétés génétique de l’humanité, et tout le patroimoine de l’être absolument unique qu’il est appelé à devenir. Sa croissance se produit par division cellulaire et réplication de ce patrimoine, aucune information nouvelle n’entrant dans l’embryon après la fécondation. Dès lors qu’on donne une quelconque légitimité juridique à ce genre d’ignominie (Alexia Decamps, avocate, déclarant tranquillement qu’un bébé à naître n’est pas un être humain), tout devient possible, jusqu’à l’assassinat d’un bébé dans le ventre de sa mère jusqu’au dernier moment au seul motif qu’il ne respire pas par la bouche, et même dans les jours qui suivent la naissance pendant qu’on y est, avec l’excuse du « déni de grossesse » chère à la psychanalyse ! Entend-on le cri silencieux des saints innocents morts avant d’avoir eu le droit de naître, au nom du slogan « mon corps, mon choix » ? Le tien, peut-être, mais celui d’un autre à qui tu ne demandes pas son avis sous le seul prétexte que sa vie dépend de toi, sûrement pas ! On remarquera que les mêmes gens qui brandissent ce slogan pernicieux pour l’avortement sont les premiers à vouloir nous imposer de force des produits hautement expérimentaux, inefficaces et dangereux, avec l’argument fallacieux qu’en vous les inoculant, vous protégez les autres d’un danger mortel potentiel et que si vous ne le faites pas, vous êtes les assassins de vos parents et grands-parents ! Enfin, je n’ignore pas que cette personnalité bien que canonisée par l’Église fait l’objet de graves polémiques, mais s’il y a au moins un point sur lequel mère Thérésa avait raison, c’est lorsqu’elle posait le problème en ces termes : « Si une mère peut tuer son propre enfant dans son propre ventre, qu’est-ce qui peut encore nous retenir, vous et moi, de nous tuer les uns les autres ? » L’un des fléaux annoncés par l’Apocalypse pour les temps de la fin est précisément que la paix sera enlevée de la Terre et que les humains s’égorgeront les uns les autres (Ap 6:4). À bon entendeur… salut !