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Je n’ai pas écouté le discours de Macron lors de l’entrée de Robert Badinter au Panthéon, une cérémonie que je vois comme une tentative cynique de sa part pour redorer son blason alors que sa gouvernance s’effondre. À mes yeux, le Panthéon, marqué par une histoire de profanation, incarne la persécution des chrétiens dans l’ADN de la République. Mais concentrons-nous sur Badinter. On lui rend hommage pour avoir porté l’abolition de la peine de mort en 1981, une mesure que je conteste vivement. Selon moi, Macron use de ce type de gestes sociétaux pour masquer son incapacité à gouverner.
Je rappelle que l’abolition s’inscrit dans un mouvement international, la France étant parmi les derniers pays d’Europe occidentale à l’adopter, avec une ultime exécution en 1979. Ce qui me choque, c’est l’argumentaire de la gauche, incarnée par Badinter, qui présentait l’abolition comme une cause progressiste. À l’Assemblée nationale, il parlait de la gauche comme une force de changement, mais quelle gauche ? Celle des guillotines révolutionnaires ? Du génocide vendéen ? Ou celle de l’épuration, avec l’exécution de figures comme Robert Brasillach, à qui de Gaulle refusa la grâce ? Je trouve Badinter d’une mauvaise foi criante, indigné uniquement par le sort des criminels, comme Jérôme Carrein ou Christian Ranucci, sans un mot pour les victimes.
Je rejette son argument selon lequel la peine de mort n’est pas dissuasive. D’abord, comment mesurer ceux qu’elle a dissuadés, puisqu’ils n’ont pas agi ? Ensuite, l’explosion de la criminalité depuis l’abolition parle d’elle-même. À mes yeux, rétablir la peine de mort est non seulement souhaitable, mais impératif, surtout si l’on se dit démocrate. La gauche, qui se réclame du peuple, ignore pourtant sa volonté. Je soutiens que la France, souveraine, peut défaire cette loi malgré les traités internationaux, qui n’ont aucun moyen de nous contraindre.
Cette panthéonisation est une insulte aux victimes, un crachat au visage de ceux qui pleurent leurs proches tués par des criminels que la gauche chérit. Loin de clore le débat, cette cérémonie ravive la nécessité de repenser la peine de mort face à une criminalité galopante.
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Et ne parlons pas de l’exploitation éhontée qu’il a faite pendant des années, de l’affaire Patrick Henry dont on sait depuis longtemps que ce n’est pas lui qui a sauvé la tête contrairement à ce que lui-même d’abord, puis les médias serviles à sa suite, ne cessent de nous asséner jusqu’à ces derniers jours ! Encore un mensonge qui, à force d’être martelé, a fini par devenir vérité aux yeux de beaucoup de gens !
Bonjour,
Si Badinter et ses congénères avaient vraiment été contre la peine de mort, ils auraient vivement contesté contre l’exécution des dirigeants nazis, histoire d’être un minimum cohérent avec leur doctrine.
#cqfd
Sur la réalité du personnage, voici encore cet article que je viens de découvrir :
https://news.oddr.biz/tombe-profanation-sepulture-pantheonisation-pantheon-robert-badinter-pedocriminalite-peine-de-mort-elisabeth-thierry-levy-macron-hommage/11088.html