FRANCE, PROCHE-ORIENT, RUSSIE, ENTRETIEN AVEC KARINE BÉCHET

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ГОВОРИТ МОСКВА ICI MOSCOU

C’est déjà le deuxième entretien que Karine Bechet m’accorde. Au bout du troisième, c’est le rond de serviette personnalisé.
Elle s’est exprimée sur la France, la situation au Proche-Orient et la guerre entre la Russie et les États-Unis en Ukraine. Son point de vue de juriste et d’universitaire exerçant à Moscou est très intéressant.
Sur bon nombre de sujets, Nous pourrions avoir des débats vifs et néanmoins courtois.
Elle a promis de revenir et elle est toujours la bienvenue.
Merci de faire bon accueil à ce podcast qui n’existe que par l’intérêt que vous lui portez. Aussi, je vous invite à le relayer sur vos réseaux et à le faire connaître à vos amis et connaissances.
Bon écoute.
Jacques Frantz

1 commentaire

  1. Bonjour,

    Je viens tout juste découter ce podcast très intéressant avec KARINE BÉCHET.
    Je dois dire que l’infame broué représentée par cette fin de second mandat macronard me donne envie de vomire.
    Du reste, le pire se déroule sous nos yeux de jour en jour après votre podcast, étant donnée que la clique macronarde s’appuie désormais sur un PS morribond pour se maintenir au pouvoir, avec la satisfaction guillerette des médias de grands chemins.
    L’avatard de cette immonde tembouille, c’est ladite taxe Zuckmann, la mauvaise orthographe utilisée ici pour le nom propre de ce Monsieur est volontaire. Il y a un moment où il faut savoir rendre à ce parfait inconnu la monnaie de sa pièce.
    l’idée de M. Zuckmann est d’autant plus idiotte qu’elle ne recouvre en réalité qu’une seule haine : celle de ceux qui héritent d’un patrimoine immobilier de leurs ancêtres pour le transmettre à leur tour, et ainsi de suite.
    Avec Madame Brown Pivai qui en remet une couche sur le sujet : « Un héritage, pffiou!, ça tombe du ciel comme ça; il faut arrêter ça »
    Je pense qu’Henry Coston à son époque aurait pu nous remettre ce genre de déclarations et de projets politique dans le contexte des origines de ceux qui les portent, mais la loi l’interdit désormais, et pourtant dieu sait que ça me démange.

    Voilà où nous en sommes en cette fin Octobre.

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