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ГОВОРИТ МОСКВА ICI MOSCOU
Les affaires où les victimes sont de jeunes enfants revêtent un caractère particulier. Qui, parmi mes contemporains a oublié l’affaire du petit Grégory Villemin en 1984 ? Or lorsqu’on se souvient de ce naufrage judiciaire et médiatique, on a l’impression que bien peu de leçons ont été tirées.
Dès le début des gardes à vue, les journalistes ont immédiatement embrayé sur la qualité de catholiques traditionalistes. Et là, on a eu droit aux habituels clichés sur les fachos tortionnaires d’enfants.
À l’issue des gardes à vue de quatre membres de la famille du jeune enfant disparu, tous les protagonistes sont sortis libres. Cela ne veut pas dire qu’ils ne risquent pas d’être inquiétés à l’avenir, mais les médias voyous, toujours prompts à dégainer leurs habituelles insultes et diffamations contre les croyants, devront mettre la pédale douce et se souvenir qu’un criminel catholique n’est pas davantage criminel parce que catholique.
Tout cela s’inscrit dans une persécution à bas bruit. Cette famille, déjà écrasée par la peine, doit faire face à une sale petite musique calomnieuse qui ne s’arrête jamais.
Les persécuteurs des chrétiens n’ont jamais pitié. Alors qu’il faudrait du silence, non seulement pour l’enquête, mais également par respect pour ceux qui sont dans le deuil, les vipères des télévisions y vont de leur sale petit couplet sur les familles nombreuses qui vont à la messe. On ne se remet jamais complètement de la perte d’un tout petit. Mais comme je l’ai dit, les médias maçons n’en ont cure. Or si la vérité ne parvient pas à être établie dans ce dossier, la famille devra vivre avec le chagrin de l’enfant perdu, plus l’éternelle suspicion entretenue par qui on sait.
Nous pourrions en écrire beaucoup plus, mais le recueillement et la discrétion fera davantage pour la manifestation de la vérité que tout le bruit des vendeurs de papier et d’espaces publicitaires.
Jacques Frantz
Je ne suis pas un catho tradi, mais force est de constater que eux seuls savent rester dignes face à l’emballement médiatique. L’écrasement par le deuil demande évidemment de puiser dans des ressources spirituelles intérieures et demande … du temps aussi.
Je me souviens de l’attitude en tout points exemplaire des parents des enfants touchés par le deuil lors du nauffrage de scouts marins dirigés par l’abbé Cottard en Juillet 1998.
Il s’agissait d’un camp dirigé par un prêtre éducateur, chef scout, prêtre catholique membre de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X, circonstance ô combien agravante pour nos fouille-merde.
Les médias de grands chemins essayaient par tous les biais d’enfoncer un coin dans la solidarité entre parents éplorés pour obtenir des révélations scabreuses sur l’abbé Cottard.
Les parents ont tenus, tenus et encore tenus la barre en demandant à ces médias de leur foutre tout simplement la paix. Ce fut extrèmement digne et très sincèrement, assez jouissif de voir les reporters estivaux de tous ces médias de gauches se faire rembarrer comme des malpropres qu’ils étaient de toute façon.
Espérons que la famille du petit Emile saura tenir face à la meute.
Et une fois de plus, lynchage médiatique au programme ! https://actu.purepeople.com/article/des-anciens-eleves-de-philippe-vedovini-grand-pere-du-petit-emile-temoignent-ce-quils-decrivent-fait-froid-dans-le-dos_a536641/1?utm_source=welcoming&utm_medium=cpc&utm_campaign=actufaitsdivers