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Sans vouloir vendre la peau de l’ours, on sent qu’une dynamique existe en faveur de Trump. Même si je serais surpris qu’on connaisse avec certitude le vainqueur au matin du 6 novembre, les planètes semblent s’aligner en faveur d’un retour du 45e président de la première puissance du monde.
Beaucoup de choses permettent de le dire, mais nous en retiendrons deux:
Kamala Harris fait une campagne désastreuse devant des salles qui seraient vides sans l’appui univoque des vedettes du spectacle. Et cette fois, pas possible d’accuser un virus et des gestes barrière et toute les âneries qu’on nous a fait avaler en 2020 pour voler l’élection.
Ensuite, il y a les sondages. On nous dit que les deux candidats sont au coude-à-coude. Comprendre, les médias n’osent pas se ridiculiser avec des sondages gagnants pour le camp du bien, tant les choses sont incertaines malgré la fraude.
Alors imaginons un scénario où Trump est élu, et malgré tout, Kamala devient président des États-Unis.
Nous sommes après le 5 novembre, et tout indique que Trump a bel et bien remporté le scrutin. C’est incontestable et vous voyez s’afficher sur vos écrans de télévision la mine déconfite des gauchistes comme on l’a vu en 20@16. J’en salive d’avance. Pourtant il va rester une carte, une sorte de lot de consolation. Kamala va devenir le 47e président.
Joe Biden, on le sait, est malade. Trop malade pour faire campagne, trop malade pour exercer le pouvoir pour un second mandat. Or s’il n’est pas capable d’exercer un second mandat, comment serait-il capable de terminer le premier ? C’est exactement ce qu’on va vous vendre à l’issue de l’élection si Trump est élu. Une démission de Biden assurerait aux médias ce qu’ils ont Ratté en 2016, à savoir, une femme à la présidence.
Vous me direz c’est une victoire à la pyrrhus, puisque le 20 janvier, Kamala devrait, (dans la perspective où nous nous plaçons), laisser sa place à Donald Trump.
Certes, mais tant de choses peuvent arriver d’ici au 20 janvier, date de la prise de fonction du nouveau locataire de la maison blanche.
En attendant, les médias se prétendant progressistes auront eu, pour l’histoire, leurs photos d’une femme devenue, pour la première fois, président des États-Unis. Symbolique me direz-vous ? faible lot de consolation ? pas seulement. Je pense même que cela pourrait devenir un élément déstabilisateur. L’histoire s’écrira, mais je fais confiance aux médias voyous pour manipuler aussi l’histoire.
Jacques Frantz
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