ENCORE UN RÉFUGIÉ QU’ON A BIEN FAIT D’ACCUEILLIR
Il ne fait décidément pas bon s’asseoir à une terrasse ou tout simplement flâner dans les rues de Paris. Ce qui s’est passé à Paris samedi soir nous apprendra à accueillir les prétendus réfugiés du monde entier.
Le tchétchène qui a frappé plusieurs personnes avec son couteau était un enfant réfugié que nous avions le devoir moral d’accueillir. Un de ceux que nous avons soigné, éduqué, nourri, chauffé. Un de ceux à qui nous avons enseigné les prétendues valeurs de la république. Sans doute un de ceux, si l’on en croit ce ver de fumier qu’est Yann Moix, qui connaissait tout Victor Hugo en Tchétchène, en farsi, en urdu, en pachtoun, en hébreu, en arabe, en swahili, j’en passe et des meilleures. Un de ceux dont il est interdit de douter sous peine d’être marqué du fer rouge du fascisme qui, comme on le sait ne passera pas.
Combien faudra-t-il de Bataclans où on a retrouvé des femmes décapitées ou ouvertes de la gorge au vagin, pour comprendre que l’obligation qui nous est faite d’ouvrir nos frontières est criminelle. Que manque-t-il pour que les gens prennent conscience de cet enfumage. Que faudra-t-il pour que les gens cessent de croire Yann Moix qui s’est rendu à Calais le cul bien au chaud dans la voiture de Jacques Attali?
Le peuple est-il sous narcose? Suffit-il d’un chapon aux manettes et d’une place en finale de coupe d’Europe pour faire accepter l’inacceptable?
Je laisse la question posée et vous demande de faire circuler cet article auprès de ceux que vous connaissez. Donnez-moi l’espoir que le fond du gouffre n’est plus très loin.
Jacques Frantz