LA TRICHE N’A PAS SUFFI DONALD TRUMP A GAGNÉ

!
Ils l’ont outragé. Il l’ont insulté! Ils l’ont condamné! Ils ont tenté de le tuer! Mais il a gagné!
Qu’on aime ou pas Donald Trump, convenez avec moi qu’une telle ténacité et un tel courage se respectent.
Une fois de plus mon pronostic était faux car je pensais qu’on ne parviendrait pas à un résultat aujourd’hui même.
Cependant, les Démocrates et l’État profond aux États-Unis n’ont pas dit leur dernier mot. Deux longs mois vont effectivement s’écouler avant que Trump reprenne ses quartiers à la Maison Blanche. Deux longs mois au cours desquels l’état profond va s’organiser pour “sauver” ce qui peut l’être, et pour mettre en place tous les outils d’obstruction à l’action du LXVIIE président des États-Unis. C’est l’un des aspects malsains du système politique américain.
Néanmoins, la majorité silencieuse, ceux qui bossent, ceux qui parfois dorment dans leur voiture parce que le fruit de leur travail ne leur suffit plus pour vivre décemment, ceux qui sont méprisés par ceux qui tiennent micros et caméras, ceux qui n’ont pas besoin d’être surdiplomés pour avoir un solide bon sens ont gagné.
À l’inverse, le camp des invertis, le camp de la culture de mort, les fainéants des campus, ceux qui méprisent Dieu, ceux-là ont perdu.
L’amertume de Kamala Harris est telle qu’elle n’a même pas osé se présenter devant ses partisans ne serait-ce que pour les réconforter. Ça en dit long sur d’une part le mépris que ces gauchistes ont toujours eu pour les idiots qui les suivent, et d’autre part sur l’absence de stature nécessaire pour assumer la fonction à laquelle Kamala prétendait.
Quant à nous, nous dégusterons un bol de larmes de gauchistes en guise de café de petit-déjeuner.
Et puis, une fois dégrisés, nous attendrons de voir si Trump peut, si Trump veut… En espérant que le ruissellement d’une prospérité retrouvée outre-atlantique daigne parvenir jusqu’à nous.
Jacques Frantz

5 commentaires

  1. Excellent résumé de la situation et excellente surprise me concernant quand j’ ai découvert qu’à midi les jeux étaient déjà pratiquement faits. Et l’ atmosphère de désolation sur les plateaux de presse mainstream était un plaisir de gourmet.
    Mais il reste 2 mois pleins avant l’ entrée officielle en fonction du nouveau président. Ils sembleront longs, mais parions que Trump ne restera pas inactif d’ ici-là et que quelques coups de fil à certains dirigeants feront déjà leurs petits effets. Ce n’ est pas un surhomme mais clairement avec lui, l’ espoir a changé de camp. Bien sûr l’ UE restera cramponnée à ses certitudes, mais ce faisant elle risque de s’isoler de plus en plus et de laisser encore davantage se détacher des états du BRICS qui maintenant ont la main. A eux l’ essor économique, à nous le déclassement, à la lueur des chandelles on pourra méditer sur les nombreuses décisions politiques absurdes (un continent sans matière première qui voulait mettre à genoux l’ économie de la Russie qui les possédait toutes, par exemple) qui nous auront conduits là. A moins que les populations européennes puissent forcer et imposer des changements drastiques et salutaires.

    1. Olivier,

      Tu ne crois pas si bien dire.

      Si vous avez un peu de temps à perdre, réécouter en entier la matinale de France Inter de ce matin 7 Novembre.
      c’est du concentré de pisse-froids comme pas possible.

      Il y a donc tout ce que nous pouvons détester, l’innénarable Thierry Breton, un mec du GIEC dont le nom m’échappe, une gauchiste dénommée Laure Murat.

      1. Merci du conseil, mais, les concernant (les ténors de la gauche bobo) je me suis juste contenté d’ un court résumé, un point d’orgue quand même: Jacques Attali qui déplore la mort de la démocratie en Amérique.
        Pour le reste qu’ en dire: ce sont des dogmatiques verbeux adeptes de la parole magique et qui donc prennent leurs désirs pour la réalité… jusqu’à se faire fracasser contre le mur des réalités intangibles justement, le drame étant qu’ils sont déjà parvenus à entraîner des nations entières dans leur délire (la « plandémie » du covid…).

        1. Celui-là, ce serait à hurler de rire si ses idées monstrueuses n’étaient pas sournoisement en train d’être réalisées par les mondialistes adeptes de la dépopulation mondiale. Illustration, une vidéo entendue sur l’un de mes réseaux, où il déclare tranquillement : « On a fait en sorte que sortir de Maastricht ne soit pas possible. On a soigneusement oublié d’écrire l’article qui permet d’en sortir. C’était pas démocratique, évidemment, mais c’était une garantie pour rendre les choses plus difficiles, pour nous forcer d’avancer. »

          Avec toutes les révélations qu’il fait, pour un peu, il se rendrait sympathique dites donc…

          Cela dit, le Brexit a été possible : vu qu’il n’y avait pas de protocole, il a suffi que le Royaume-Uni fasse un bras d’honneur et arrête de payer ! C’est aussi cela, le mur de la réalité.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.