SOMMES-NOUS TOUS ANTIFASCISTES? VRAIMENT?

 

ГОВОРИТ МОСКВА ICI MOSCOU
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Le groupuscule d’extrême-gauche “Action antifasciste Paris banlieues” serait, à en croire l’Observatoire des violences politiques qui publie un dossier sur le sujet le premier groupe antifa au niveau national en terme de radicalité et d’organisation.
Mon objectif ici n’est absolument pas de paraphraser l’un ou l’autre des sites susnommés, mais de poser une question simple: comment cela est-il possible ? comment en sommes-nous arrivés là ?
D’abord, comprendre que comme toujours, la gauche s’appuie sur des éléments symétriquement opposés aux réalités. En effet, pour qu’il y ait un antifascisme, faudrait-il encore qu’il y ait un fascisme. Or le fascisme (qui est, rappelons-le, issu de la gauche), n’existe plus depuis 1945, année au cours de laquelle son chef, Benito Mussolini, a été sommairement exécuté et exhibé à Milan, pendu à un croc de boucher. Ça en dit long sur le sens qu’a la gauche de la dignité humaine. Des leçons, toujours des leçons!
La nouvelle république italienne interdira tout mouvement politique se réclamant du fascisme, ce qui en dit à peu près aussi long sur le sens qu’ont les gauchistes de la démocratie.
Par conséquent, le fascisme n’existe plus. Malheureusement, la fin du fascisme c’est aussi la fin de l’antifascisme. Or je l’ai dit, la gauche ne s’appuie jamais sur du réel. Elle a du coup recréé un fascisme imaginaire en qualifiant de tel à peu près tout ce qui l’arrange. Ainsi, critiquer le discours officiel sur l’immigration, la sécheresse ou les vaccins vous vaut immédiatement d’être taxé de facho. Après, comme l’abus terminologique a un effet édulcorant, on y a ajouté “complotiste” “raciste” et j’en passe, l’imagination des cerveaux pourris des gauchistes n’ayant aucune limite.
Ce qu’on constate en tout cas, c’est que les grands donneurs de leçons et les grands raconteurs d’histoires sur une extrême-droite qui serait dangereuse et violente sont en réalité ceux qui dégradent, qui troublent l’ordre, qui provoquent et qui frappent. L’inversion accusatoire de la gauche est bien connue. D’ailleurs, cela va encore plus loin. Vous organisez un événement qui leur déplaît, ils vont faire le coup de poing à proximité et l’événement finit par être interdit au motif de trouble à l’ordre public.
D’ici à penser que l’État voyou trouverait commode d’utiliser ces groupuscules de délinquants pour faire le boulot sans se salir les mains, il n’y a qu’un pas que, étant complotiste, je me refuserai à ne pas franchir.
Les preuves sont nombreuses, à commencer par l’indulgence de la justice devant des faits qui devraient valoir à leurs auteurs des décennies de prison.
Devant ce constat que faire ? Loin d’être un partisan de l’autojustice, je constate néanmoins que la justice refuse de faire son travail. Sa clémence envers les extrémistes de gauche ou les délinquants étrangers n’a d’égal que sa sévérité envers les justiciables appartenant à notre famille de pensée.
Cela dit, — sans inciter à la violence — notre liberté se gagnera dans la rue face à face comme nos glorieux prédécesseurs.
Assez de pleurniche! Il faut parler à ces gens le seul langage qu’ils comprennent, celui de la force. Ne sont respectables que ceux qui se font respecter.
Jacques Frantz

1 commentaire

  1. Jean-dominique Michel, anthropologue et figure intellectuelle de la résistance à la situation actuelle, considère comme étant d’inspiration fasciste la collusion entre l’État représenté par les élites mondialistes au pouvoir (donc des gens de gauche ou de l’extrême centre, ce qui somme toute revient au même), et des intérêts privés qui peuvent tout aussi bien être Big Pharma, Big Tech, Big Media ou d’autres coupables industries comme celle pratiquée par certains cabinets dits « de conseil » ou autres officines du genre. que faut-il penser d’une telle définition, je ne saurais le dire !

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