RELAYEZ SUR VOS RÉSEAUX
La pilule est assez difficile à avaler. Avec la vieille histoire des armes de destruction massive de l’Irak, il est difficile aujourd’hui d’enfumer le grand public. Pour les politiciens, les choses sont différentes. Pas plus hier qu’aujourd’hui, ils n’ont pas cru à la fable de Bush, Powell et Netanyahou.
Ce qui est intéressant, c’est que les incrédules d’hier sont aujourd’hui du bon côté de l’histoire. lire ici mon article sur MPI.
Jacques Frantz
Bonjour,
oui, je crois que les méthodes américano-sionistes fonctionnent encore très biens, merci pour elles.
En particulier auprès de personnes se prétendant de la droite nationale, trois fois hélas.
Ou plutôt, j’aurais surtout tendance à penser qu’il en coute infiniment trop cher en terme de carrière professionnelle pour aller contre ce narratif américano-sioniste, fait de mensonges, de ruses et surtout de crimes.
Donc, c’est comme pour le Covid, tu n’auras que des gens rangés des voitures pour oser l’ouvrir; donc en gros des diplomates ou des militaires retraités pour prendre le risque de crier au scandal.
Et encore, le Mossad ne fait pas spécialement preuve de pudeur de vierges éffarouchées pour éliminer phisiquement les personnes qui critiqueraient un peu trop fort, ou qui sortiraient un livre qui se vendrait trop bien, et j’en passe.
Donc les voix courageuses se font quelque peu très rares, sous nos cieux en tous cas.
C’est toujours un peu la même chose: Netanyahou qui peut être vu comme un extrémiste ici, n’est qu’un des plus modérés dans son pays.
Et de toute façon, un dirigeant donne toujours le ton , si lui, tout dirigeant qu’il est dit 50, d’autres oseront aller dans la surenchère et diront 500.
La génération née en Israël après le décès d’Yitzhak Rabin ne gagne rien à militer « modéré » sur le plan politique, bien au contraire.
Du reste, on verra bien, tien, si quoi que ce soit de particulier est organisé de façon officiel sur place en hommage à Rabin en Novembre prochain.