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ГОВОРИТ МОСКВА ICI MOSCOU
Je reprends la plume après un repos forcé suite à des ennuis de santé de gauche.
Le Pape François est mort et, (comme on dit) un nouveau Pape est appelé à régner. Quel drôle de nom pour un pape. Plus sérieusement, vous savez que j’apprécie les bilans. Or celui-là n’est pas très glorieux. Pour s’en convaincre, il suffit de lire ou d’écouter la presse gauchiste et mondialiste lui rendre hommage.
Les hommages et les larmes de nos ennemis sont de bien triste augure au moment où François va comparaître devant Celui à qui il a prétendu succéder.
Il est mis sur le trône en 2013 à la faveur d’un coup d’État. Pourtant, connu que des spécialistes, nous lui avons accordé dans ce blog le bénéfice de celui qui accepte une charge très lourde dans des conditions difficiles et inédites. J’y avais vu à l’époque un homme aux airs de bon curé. Hélas, la simplicité affichée n’était qu’apparence. C’est toujours comme ça avec les communistes.
Il restera pour moi celui qui a eu davantage soin des non-croyants que des fidèles. De Pachamama aux LGBT, du moment que ça n’était pas catholique, ça lui plaisait. Attention, surtout ne jamais inciter les non-croyants à se convertir. Pensez donc ! Ils auraient risqué le salut.
Il fut ensuite le pape des persécutions. En privé, on le disait irascible et volontiers insultant envers son entourage.
Parallèlement, il n’a eu que des gestes de division et d’agression vis-à-vis des catholiques attachés à la tradition. Là où son prédécesseur a tout fait pour rassembler l’Église et cicatriser ses plaies, lui, au contraire s’est évertué à rouvrir les blessures.
Il restera de surcroît comme le chantre de la persécution vaccinale, allant jusqu’à éliminer sans compassion ceux qui, au Vatican, prétendaient remplir leurs service tout en usant de leur liberté de ne pas s’injecter des vaccins peu sûrs aux conséquences – on le sait depuis – parfois funestes.
Enfin, il restera le pape fanatique de l’invasion migratoire non chrétienne de l’Europe.
L’Église qu’il laisse est en bien mauvais état. La voix qu’elle fait raisonner a le souffle bien court. Mais qu’on ne s’y trompe pas : c’est quand l’Église est la plus pauvre qu’elle est la plus forte.
Le successeur de François ne réussira que si, à l’instar de la Samaritaine, il comprend que les hommes ont soif. Ils ont soif de vérité et attendent un pasteur qui leur dira non ce qu’ils veulent entendre, mais qui les guidera vers le chemin, la vérité et la vie. L’Église attend un véritable vicaire du Christ. Cela dépend aussi de nous alors qu’il ne nous reste qu’à prier.
Jacques Frantz
En effet, prier pour que le Saint-Esprit inspire quelque heureuse surprise aux cardinaux électeurs dont on sait que 75 % ont été nommés par François. Mais rien n’est impossible à Dieu dont la grâce n’est pas avare de ces cadeaux aussi inattendus que précieux dont la Providence a le secret. Aurons-nous un Jean XXIV ou bien un Benoît XVII ? Le mois qui vient nous apportera la réponse divine.
Certes, je crois que les événements de ces dernières années ne nous donne pas le choix. Il nous faut nous en remettre à l’Esprit saint et consolateur
Bonjour,
Pour une fois, je me permets un reproche : j’aurais titré le présent billet « Il a rejoint la maison du Père » ou quelque chose de ce genre.
Pour le reste, je préfère en effet m’abstenir de tout commentaires à ce stade et prier pour son âme.
Voici l’un des meilleurs commentaires qu’il m’ait été donné de lire comme suite au rappel à Dieu du pape François :
https://www.paixliturgique.fr/aff_lettre.asp?LET_N_ID=NDIzOA%3D%3D
C’est en effet excellent!