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ГОВОРИТ МОСКВА ICI MOSCOU
La commune d’Allauch ne veut pas de logements sociaux.
La commune précitée connaît quelques déboires. En effet, la loi communiste DALO (droit au logement opposable) exige des communes un quota de 25% de logements sociaux. Cependant, il existe des communes récalcitrantes qui font tout ce qui est possible pour ne pas respecter ce quota, y compris en payant les amendes dues en pareil cas. Néanmoins, il arrive que même les amendes ne suffisent pas pour faire plier certains réfractaires.
C’est le cas de la commune d’Allauch.
Le préfet menace.
Le préfet des babouches du Rhône s’est ému de cette situation et a menacé d’imposer par la force la construction de ces logements sociaux.
Le haut fonctionnaire gavé par les contribuables ne s’est pas demandé pourquoi des gens étaient prêts à payer (parce que les amendes payées par la commune sont bien évidemment répercutées sur les contribuables locaux) pour éviter cette contrainte communiste ?
S’il le faut, nous allons l’aider. Allauch est la commune où se déroule l’action des souvenirs d’enfance de Marcel Pagnol, en particulier La gloire de mon père et Le château de ma mère. C’est donc un lieu chargé d’histoire, pas un point de deal. Mais voilà, au nom de l’idéologie, la gauche ne peut faire autrement que tout salir.
Alors qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit. Peut-être qu’en cherchant bien, on trouvera çà et là quelques gauchistes qui ont trouvé le lieu adéquat pour fuir ce qu’ils imposent aux autres.
Manuel Domergue, directeur d’étude de l’organisation communiste anciennement Fondation Abbé Pierre et renommée depuis peu Fondation pour le logement, indique sur France Info qu’il est plus que temps que l’État, par l’intermédiaire du préfet, prenne ses responsabilités. Eh oui, ils sont comme ça, les cocos. Ce qu’ils n’obtiennent pas par la persuasion (autrement dit par la propagande), ils l’obtiennent par la force.
En revanche, quand des gens retrouvent leur logement squatté, que la Justice va son train de sénateur et que deux ans après ils retrouvent un logement inhabitable, le stalinien Domergue ne verse pas une larme. Et encore, ça, c’est le meilleur scénario. Parce que si quelqu’un se fait mal dans le logement volé, ce sont encore les occupants légaux qui sont responsables. Sous Staline ? Non, non ! Sous Macron.
Qu’on se rassure tout de même, jamais ne sera squatté le logement d’un cadre du régime ou de sa famille.
Mais au fait, pourquoi obliger les communes à construire des logements sociaux ?
Bonne question, belle lectrice. Et perspicace avec ça !
Eh bien parce que ce sont des mesures d’inspiration communiste.
Ces gens-là se prétendent démocrates mais s’ils l’étaient ils appliqueraient les quotas dans la cité où ils sont élus et où ils exercent brillamment leur mandat. Nul doute que leur mandat serait renouvelé tant auprès des racailles il fait bon dormir. Sauf que comme leur clientèle, c’est la racaille, en l’étalant dans des communes qui en sont injustement privées, ils peuvent prétendre prendre des bastions jusqu’alors imprenables.
L’objectif à terme est qu’il n’y ait plus de coin de France où il fasse bon vivre. Le régime, lui, saura toujours se protéger mais seule la Caste aura droit à la paix. Belle perspective.
Jacques Frantz
l’étape suivante, ce sera la décision arbitraire de nous imposer ce genre de colocataires dès lors qu’il restera ne serait-ce qu’une place pour dormir dans nos logements. Ainsi, il ne fera plus bon vivre dans ce qui du reste ne sera plus un « chez soi », puisque cette expression même est jugée subversive par l’idéologie communiste !
Bien sûr, personne n’a oublié les appartements communautaires à Moscou
Je rappelle, pour mémoire, que l’infame loi DALO fut promulguée par ladite très catholique Christine Boutin.
Donc ici, les curetons progressistes seront main dans la main avec les communistes ainsi que les financiers de Davos pour vous priver de votre droit de propriété pour loger la lie de la société.
Bien sûr, l’Église catholique vaticane est complètement infiltrée par les communistes et par une autre engeance que rigoureusement ma mère, m’a défendu de nommer ici.