LE CANADIEN TRUDEAU SE PREND LES PIEDS DANS LE TAPIS DU NAZISME

Voilà près de 10 ans (2014), qu’on me dit que dénoncer le nazisme parmi les indépendantistes ukrainiens serait complotiste. Or, je ne sais pas vous, mais moi, je ne veux surtout pas être complotiste. Je vous dirai pourquoi dans un prochain article. Cependant, je ne te cache pas, belle lectrice, que je commence à en avoir plus qu’assez de la tartuferie antinazie.
Une bande d’inquisiteurs sévit depuis les années 70 pour traquer même le nazi qui s’ignore. Tel un Monsieur Chourdain aux accents germaniques, tout le monde serait un peu nazi sans le vouloir et même sans le savoir. Une main maladroitement tendue, un geste mal interprété, et patatras, vous voilà en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire devant la XVIIE. Or comme chacun sait, celui qui passe devant la XVIIE est condamné avant même le début de l’audience. Il faut bien que les parties civiles à qui les abondantes subventions ne suffisent pas, même pour couvrir les frais de fonctionnement, se gavent.
Or comme je l’ai déjà dit, personne n’est à l’abri. L’expression d’un léger doute sur certains événements historiques, le mauvais positionnement d’une main, de mauvaises fréquentations ou de mauvaises lectures suffisent à vous faire comparaître devant l’inquisition.
Je suis certain que si le présent blog faisait trop d’audience, l’une des associations parasites qui pullulent aux frais du contribuable aurait tôt fait de trouver la virgule mal placée pour, en premier lieu me soutirer du fric, et en second lieu me mettre au trou, histoire que je goûte à la compagnie de ceux qui s’y trouvent déjà et que les mêmes associations ont contribué à faire entrer.
Pourtant, j’ai, ces derniers temps, observé un certain infléchissement de cette politique que je croyais si rigoureuse. J’ai tout d’un coup remarqué que les chiens de garde du “no pasaràn” et de l’antisémitisme se faisaient discrets voire pudiques à l’égards de certains. Les Torquemada du “plus jamais ça” et des “heures les plus sombres” seraient-ils devenus mous du genou? J’en suis à me demander ce qui explique une telle mansuétude. Les Ukrainiens auraient-ils des droits que nous n’avons pas? Sympathiser avec les nostalgiques du IIIe Reich serait-il devenu excusable au nom de la raison d’État?
C’est dans ces conditions que l’infâme Trudeau qui, – la cocaïne et sa nature psychopathe aidant – s’est dit qu’il pouvait y aller franco en invitant un ancien SS à une petite sauterie au Parlement canadien. Il s’est dit que cela aurait pour effet de requinquer Zelensky qui en avait bien besoin après la veste qu’il s’est prise à l’Assemblée Générale de l’ONU. Sauf que si la cocaïne n’avait pas altéré le discernement du fils à papa (on ne sait pas très bien d’ailleurs de quel papa) qu’est Trudeau, ce dernier aurait dû flairer que Zelensky est désormais “à la baisse”. Vous me direz qu’avec ce que Trudeau se met dans le nez, le flair doit être quelque peu altéré.
Le signal paraît assez clair: Les gardiens du Temple de Jérusalem semblent avoir sifflé la fin de la récré. L’Empire avait absolument besoin d’une victoire à la fois politique et militaire. La tolérance envers les sympathies nazies en Ukraine était à ce prix. Dès lors que le contrat n’a pas été rempli (et il risque fort désormais de ne pas l’être), un tour de vis s’impose et on repasse au régime strict. Finies les vacances. Et ça, Trudeau qui ne doit pas ses fonctions à ses compétences, ne l’a pas vu venir.
Je ne vous cache pas que tout ça est bien dégueulasse! L’imprescribilité au nom de laquelle on va pourrir la vie de gens presque centenaires est ridicule, inhumaine et malsaine. Surtout que s’il fallait mettre en cabane tous les Ukronazis ayant trouvé refuge dans un Canada d’après guerre très coulant, on n’aurait pas fini. Cela dit je ne peux m’empêcher de sourire à l’idée que ce petit merdeux de Trudeau s’est pris un coup de règle sur les doigts. Pas parce qu’il a désobéi, il n’avait pas reçu d’ordres. Mais parce qu’il n’a pas su anticiper le changement de braquet. Et comme la main qui tient la règle est invisible, il faut être très prudent. Si seulement cela pouvait être un signe avant-coureur d’une paix prochaine…
Jacques Frantz