LA MACRONIE, C’EST D’ABORD LA VIOLENCE

LA MACRONIE, C’EST D’ABORD LA VIOLENCE

Mes chers lecteurs. Voilà un long moment que je ne me suis pas exprimé dans ces lignes. Je m’en excuse auprès des lecteurs et surtout des lectrices qui s’en inquiètent. Je dois dire que j’ai beaucoup de mal à mener de front ma vie professionnelle par moment extrêmement chargée, et ma vie militante dont fait partie ce blog. Cela dit, la responsabilité ne m’incombe pas entièrement. Je rappelle que le blog dispose d’un formulaire réservé à ceux (et non à celles et ceux) qui souhaiteraient devenir rédacteurs. Par conséquent, si vous souhaitez rédiger ou si vous connaissez des personnes susceptibles de rédiger selon les conditions énoncées à la rubrique réservée aux éventuels rédacteurs, n’hésitez pas à vous faire connaître et ce blog vivra. Trêve de plaisanterie et passons au sujet du jour.

Lors d’un déplacement, vous vous en souvenez sans doute, freluquet s’est pris une gifle sur la figure. Il s’est pris une de ces gifles qui lui ont probablement manqué durant son enfance de grand bourgeois. Une de ces baffes salutaires qui posent aux enfants des limites, qui leur rappellent que même s’ils ont le droit de prétendre à un amour inconditionnel de leurs parents, ils ne sont pas les rois, qu’ils ne commandent pas aux éléments et qu’une hiérarchie existe au-dessus d’eux. De toute évidence, le psychopathe Emmanuel Macron a manqué de ces corrections qui forment le caractère. Pourtant, que n’at-ton pas entendu de pathos sur l’air de “non à l’ultra-violence”, “c’est la fonction qu’on attaque”, “ça ne peut plus durer”. C’est tout juste si on ne nous a pas joué le mélo du danger d’une nouvelle marche sur Rome.

Je ne peux m’empêcher de faire un rapport entre la gifle reçue, les réactions qu’elle a engendrées et la dernière intervention très martiale de celui qui occupe ses fonctions avec l’aval d’à peu près 25% du corps électoral. Rappelons à ce sujet qu’aux dernières élections régionales, LREM qui exerce le pouvoir sans aucun contre-pouvoir n’a même pas obtenu 10% des suffrages exprimés, ce qui prouve que nous sommes bien en dictature. En effet, devant une telle déconvenue, un gouvernement ayant si peu que ce soit de notions démocratiques aurait démissionné, le Président aurait dissous l’Assemblée et tout ce beau monde se serait représenté devant les électeurs. Au lieu de cela, le Président et sa clique de voyous incompétents se raidissent dans un exercice du pouvoir de plus en plus violent, brutal et malhonnête. Du discours martial à la loi martiale, il n’y a qu’un pas que la clique au pouvoir rêve de franchir. À entendre et surtout à voir l’intervention de Macron le 12 juillet dernier, on sent que ça les démange. C’est en effet avec un regard haineux que le petit dictateur a annoncé toutes les misères qui attendaient ce qui auraient l’outrecuidance de lui désobéir en refusant l’injection mortifère et peut-être mortelle qui leur est si généreusement offerte. Car il s’agit bien d’une vie misérable qui est promise à ceux qui, par peur, par bon sens, par contre-indications refuseront le cocktail pour lequel « Big Pharma se décharge de toutes responsabilités en cas d’effets indésirables. Il s’agit d’écarter les gens de toute vie sociale s’ils ne sont pas injectés. Or la mort sociale c’est la mort tout court. La discrimination pour l’accès aux loisirs, aux transports, à l’hôpital, aux commerces, signifie à très court terme une mort certaine. Et on voudrait que cela n’engendre pas de violence? Aucun opprimé ne s’est libéré de l’oppresseur sans violence. Même pas Ghandi dont on connaît la fin violente. On ne se libèrera de ce pouvoir que par une forme de violence. Ne croyez pas ceux qui vous disent que le Président et son gouvernement reviendront à la raison avec des bouquets de fleurs. Du reste, ils l’ont bien compris puisque les représentants des forces de l’ordre sont comme par hasard dispensés des injections. Or si ces injections nous protégeaient contre quelque chose de dangereux, on n’imagine bien que le Pouvoir et ses barbouzes seraient les premiers à se faire injecter. Laissez-moi vous dire que si l’injection était un privilège, vous n’y auriez pas droit. Si en revanche Macron, sa Brigitte, ses mignons et ses chiens de garde s’en préservent, n’en doutez pas, cette injection est dangereuse.

Après, si une partie de la population se fait piquer pour des raisons de confort et pas pour des raisons médicales, cette population est perdue. En effet, le simple fait de prendre un risque médical pour éviter d’avoir à renoncer aux voyages, aux concerts ou au restaurant dénote d’une décadence intellectuelle probablement sans précédents. Lorsque je rencontre de telles gens, je leur demande s’ils sont prêts à se faire couper un doigt pour aller au cinéma. Le pire c’est que une, deux, puis trois injections ne suffiront jamais. Je crains en outre que demain ou après-demain, lorsqu’il ne sera plus possible de cacher l’arnaque, ceux qui sortiront du cinéma ou du restaurant ne soient marqués par le sceau de la honte. Un peu comme les Soviétiques privilégiés qui ne faisaient pas la queue, qui recevaient des colis spéciaux ou qui avaient accès à des magasins bien approvisionnés. La fracture au sein de la population est déjà importante, demain elle sera immense. Rappelez-vous il n’y a pas si longtemps de ceux qui traitaient de fous ceux qui prédisaient le passe sanitaire.

La bonne nouvelle est que la torpeur de l’été n’est pas parvenue à empêcher une réaction forte et pacifique d’une population effrayée par le discours dangereux de ce dictateur. J’imagine qu’il a eu peur en voyant les manifestants jouer avec sa tête devant l’hôtel de ville de Marseille. Une prémonition? Je ne l’espère pas. Cependant, il devrait se méfier d’une population trop humiliée. L’ivresse du pouvoir qui ne connaît pas de limites engendre la colère. Or quand les plus faibles sont en colère, cela dégénère vite en violence.

Pour être clair, je n’appelle pas de mes voeux la violence. Elle doit être le dernier recours et doit s’exprimer de façon graduelle et en réponse à une violence qui lui est supérieure. Dans un premier temps, il faut comme on l’a fait, manifester. Ensuite il faut que les non injectés fassent la grève générale. Au fait, il sont où les syndicats?

Pour notre part, nous ne lâchons rien.

Jacques Frantz

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