DONALD TRUMP, RETOUR POSSIBLE?

DONALD TRUMP, RETOUR POSSIBLE?

Beaucoup de ceux qui ont envisagé les scénari les plus fous pour s’opposer au coup d’État de Joseph Robbinet Biden JR en ont été pour leurs frais. Je ne serais pas honnête si je cachais mon espoir qu’un miracle surviendrait. L’objet de mon propos ne consiste pas à expliquer pourquoi ce qui devait se passer ne s’est pas passé. J’ai été dans ces pages relativement prudent en ne m’engageant pas trop sur l’avenir.

Malgré tout il me semble que c’est le moment de faire le point.

Trump n’a pas été, comme je l’espérait, élu à la présidence des États-unis pour un second mandat. Cela ne veut pas dire qu’il a perdu l’élection, car nombreuses sont les preuves que la victoire de Brejnev 2.0 était impossible. Si Biden avait gagné, les médias de propagande n’auraient pas eu besoin d’user de moyens coercitifs et arbitraires pour faire taire la vérité. Dans un débat sincère et honnête, la vérité finit toujours par triompher. Ceux qui ont peur du débat ont peur de la vérité. Ce qui m’a frappé à l’écoute de l’audience de la Court suprême de l’Arizona demandant un audit de l’élection du conté de Maricopa, c’est la faculté qu’a eu la Court à ne pas entendre les arguments d’une des deux parties. Ainsi donc, il suffirait de juger sans appel que les preuves apportées sont irrecevables pour qu’il n’y ait pas de preuves? Désolé, mais c’est trop facile. Et qu’on arrête de me dire que le pouvoir judiciaire a toujours raison. Le pouvoir judiciaire peut aussi se tromper, il sait mentir, et il a lui aussi un agenda et des intérêts directs et indirects.

Je t’entends lecteur me dire que les faits sont là, et que c’est bien Leonid Brejnev qui couche à la Maison blanche désinfectée pour l’occasion. Parce que vu son état, attraper le virus serait dangereux. Merci, mais je l’ai aussi constaté. Tout comme j’ai constaté que le cracken n’est pas sorti et que rien de ce qu’on attendait ne s’est vérifié. Pour autant, tout ce que se sont évertués à dire Lin Wood ou Sidney Powell, au prix de leur crédibilité ne saurait être paroles en l’air.

Ce que je pense depuis le début de cette histoire, c’est-à-dire depuis le 4 novembre, c’est qu’il y a eu un bras de fer très important entre la présidence Trump et l’État profond. Bien sûr, j’en suis comme tout le monde réduit aux pures spéculations. Je ne suis pas dans les coulisses, qui certainement ne sont pas reluisantes.

Ce qui est toutefois certain, c’est que Trump a choisi de rester dans la stricte légalité. C’est une stratégie moralement très louable sur laquelle je ne me prononcerai pas. Ce qu’en revanche je trouve inqualifiable, ce sont les accusations visant à faire passer Trump pour un factieux alors que c’est précisément le contraire. C’est bizarre qu’on retrouve toujours la méthode de l’inversion accusatoire.

Pour faire court, Trump a engagé un bras de fer qui a duré quatre ans et qu’il a perdu. Il a démantelé le premier complot visant à sa destitution sous de fausses allégations de collusion avec le pouvoir russe en vue de son élection. Il a en revanche échoué à déjouer le complot visant à s’emparer du pouvoir au moyen d’une fraude massive et de l’exploitation d’une crise sanitaire qui a permis de modifier sur le tard les règles d’un jeu électoral déjà fragile.

Le poutch est là! Il dépasse de loin ce vieux tocard de Robbinet qui n’est qu’un instrument d’humiliation suprême du peuple. Parce que franchement je n’arrive pas à comprendre pourquoi l’État profond a choisi un canasson de retour aussi médiocre; à moins que ce ne soit pour humilier la classe moyenne blanche. De fait, cela se tient:
On met un blanc décadent, sénile et corrompu, ce qui aura pour effet d’affaiblir l’institution séculaire opprimante. Une forme de “cancel culture” (culture de l’éradication), en quelque sorte.

Y a-t-il un espoir de revoir Trump tôt ou tard à la tête des États-unis? À mon avis non! Il est vain d’espérer un coup de force du destin qui chamboulerait rapidement un calendrier électoral qui aux États)unis tourne comme une horloge. De plus, je soupçonne Trump d’être tellement légaliste qu’il croit encore à un processus politique pour revenir achever son projet d’assainissement du marigot. Et comme je l’ai déjà dit, je n’y crois pas.

Il est par conséquent déplorable de voir la bassesse de ces gauchistes qui font passer Trump pour un factieux ou un danger pour la démocratie. De toute façon pour ce qui l’en reste…

Jacques Frantz

Pour approfondir le sujet, je recommande vivement de visionner la capsule de La croix du sud avant qu’elle ne disparaisse. Il s’agit d’un travail très complet et sérieux.

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