LE GRAND BOND EN AVANT
À l’heure où j’écris, les “confinés” sont toujours “confinés” et les cons finis sont toujours cons. Le gros problème avec ce virus est qu’on ne parle que de ça.
Quand j’étais gamin, je trouvais parfois le journal télévisé mortellement ennuyeux. Même si je me suis intéressé très tôt à la politique, même si j’ai très tôt compris que les socialistes étaient dangereux, je trouvais le journal télévisé fort indigeste. Ce qui m’a conduit à me poser la question de savoir que feraient les journalistes s’il ne se passait rien, et s’ils n’avaient rien à dire? Mon grand-père, qui m’a beaucoup écouté, m’expliquait qu’il était impossible qu’il ne se passe rien. Même si l’actualité est au repos, il y a toujours quelque chose à dire sur ce qui se passe dans le monde. Eh bien croyez-moi si vous voulez, en ce moment, il ne se passe pratiquement rien. C’est à croire que tout s’est arrêté. Tout tourne autour d’un seul sujet. Même si l’actualité est en permanence sous la loi de l’esquive, j’ai tendance pour ma part à trouver cela inquiétant.
C’est à croire que l’actualité n’a plus qu’un mot-clé.
Pendant ce temps, pourtant, le plan maçonnique se poursuit. La mondialisation, malgré son échec, ne lâche rien. C’est ainsi que le ministre de la santé rassurait le planning familial en leur promettant qu’il serait dérogé aux lois encadrant l’IVG. En d’autres termes, des IVG seraient pratiquées malgré le dépassement des délais légaux.
Alors que les hôpitaux sont vides et qu’on ne soigne plus les cardiaques et les cancéreux, une chose préoccupe plus que tout le ministre, c’est la pratique de l’IVG.
À ceux qui croient que le monde va changer et que les loges céderont un pouce de terrain, j’ai envie de dire que leur naïveté confine au crime contre la Nation. Le virus n’est pas là pour ralentir le plan maçonnique, mais pour l’accélérer. L’euthanasie pour les plus de 70 ans, c’est désormais chose faite. Grâce au virus béni, pas besoin de débat, pas besoin de polémiques, pas besoin de supporter les culs bénis d’extrême-droite, ni même la Conférence des évêques de France qui fait semblant de s’opposer depuis plus d’un demi-siècle.
Les frontières sont fermées sauf pour l’immigration clandestine. MSF et les ONG de la communauté de lumière font savoir à grand renfort de publicité que le tiers-monde et son lot de terroristes islamistes peuvent reprendre la mer, on vient les chercher. Pendant que Jeanine et André se prennent des amendes s’ils ont le culot de mettre ne serait-ce qu’un pied dehors, Mamadou et Habib peuvent venir faire le djihad et toucher les allocs.
En réalité, le monde d’après virus dont on ne sait pas quand il verra le jour, aura fait progresser les progressismes. Je suis, il est vrai, d’un naturel pessimiste. Toutefois, je sais aussi que plus les choses avancent, plus le pouvoir fait montre de fragilité. L’élite dirigeante s’est montrée hésitante, incompétente, et emplie de morgue et de contradictions. Elle a surtout montré sa trouille. Ces gens ont aussi peur du peuple qu’ils le détestent.
Cette histoire de virus semble au fil des jours montée de toutes pièces. Cependant, l’accélération du projet maçonnique commence à peser sur le petit peuple. Vous savez, les Bidochons qui roulent au Diesel. Par conséquent, on ne se contente plus d’une accélération. Ce que l’on veut aujourd’hui, c’est d’un bond en avant. Espérons qu’il ne fera pas autant de morts que son homonyme chinois.
Jacques Frantz
Ce virus est en effet un incroyable magicien qui a brutalement fait disparaître des radars de la bien-pensance tout le reste de ce qui se passe en France et dans le monde, au point que même le terrorisme, c’est indirectement la faute au virus puisque c’est le confinement qui les rend… « déséquilibrés », pour reprendre un diagnostic utilisé depuis bien avant sa majesté COVID 19 pour couvrir les actes de ceux auxquels il ne faut toucher pour rien au monde. Même notre bonne vieille grippe, celle dont on nous disait naguère qu’elle n’était pas pour les chiens, voilà qu’elle elle aussi, totalement cédé le pas devant la couronne de sa majesté. Vous avez dit « sélection naturelle » ? Il faudrait vraiment qu’on arrête de nous prendre pour des imbéciles, ça changerait !