Suis-je Homophobe? Depuis quelques années, le pouvoir français a créé un nouveau délit d’homophobie. Naïf, je ne savais pas qu’une phobie pouvait être un délit. Pour moi la phobie relevait de la crainte irrationnelle, de la pathologie psychiatrique ou psychologique, bref d’une forme de folie. Toujours naïf, je croyais que on était irresponsable de ses phobies et donc non passible de poursuites. Le pouvoir en a décidé autrement. Désormais la phobie est un délit. En réalité il fallait faire de ceux qui s’exprimaient librement contre la pratique homosexuelle des délinquants. Le bon citoyen que je suis est contraint de se poser la question de savoir « suis-je un délinquant »? Probablement, conformément à la dialectique marxiste, même si je ne le sait pas, je suis coupable. Dans l’URSS de Staline, tout homme était un coupable qui s’ignorait. Pour faire court et clair, je place au-dessus de tout la dignité humaine. Tout homme est digne d’être aimé, quelle que soit son origine, sa race, ses actions sa religion et même ses pratiques sexuelles. toutefois, (et j’en profite tant que j’en ai le droit), je dis que la pratique homosexuelle n’a pas mes faveurs. J’ajoute que non content d’être défavorable, je considère que l’homosexualité est contraire à la dignité humaine. Le vrai délit, c’est l’homophobie qu’on nous impose jour après jour. Le vrai délit c’est la propagande homophile dès l’enfance pour faire des adeptes à la secte homo, pour que nos enfants se fassent dévorer par des loups-gourous comme Pierre Bergé. Voilà pourquoi j’ai décidé de répondre coup pour coup avec insulte pour insulte sur mon compte twitter et ailleurs. Je peux comprendre que ce soit lourd pour mes abonnés que je prie de m’excuser. En conclusion, je considère devoir à l’homosexuel le même amour que je dois à mon prochain, tout en refusant sans faiblesse de cautionner une pratique que je trouve immonde, et tant pis si ça me vaut la correctionnelle. Jacques Frantz