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ГОВОРИТ МОСКВА ICI MOSCOU
La meurtrière de Lola Daviet, Dahbia Benkired est condamnée à une lourde peine à l’issue d’à peine cinq petits jours de procès d’assise.
Ce qui s’est passé et ce qui se passe encore est une honte. Une honte parce que devant l’homicide le plus odieux qui soit, devant l’atroce, vous êtes sommés de vous taire. Une honte encore, parce que cette affaire, loin d’être la seule, recèle toute la politique de la gauche en matière pénale. Une honte enfin, parce que devant cette horreur pour laquelle les mots n’existent pas, la même gauche vous impose un terrorisme intellectuel, une véritable chape de plomb. Vous n’avez pas le droit de dénoncer. Sous l’accusation fallacieuse de « récupération », il vous est interdit de mettre les gauchistes devant leurs responsabilités. Bien sûr, quand je parle de gauchistes, je n’oublie pas la droite. Cette droite courbe qui fait campagne à droite pour ramasser les suffrages, et qui, une fois aux affaires, gouverne à gauche. Un peu par lâcheté, mais aussi beaucoup par conviction réelle, puisqu’une fois hors de l’hémicycle, on se fréquente entre gens de bon aloi dans les mêmes loges et les mêmes luxueux établissements.
Il est donc interdit de dénoncer l’échec d’une politique. Et encore, sommes-nous cléments en parlant d’échec. Parce que l’échec a quelque chose d’involontaire. Il est la conséquence négative d’un essai, d’une tentative qui n’a pas abouti. Ici, il faudrait parler plutôt de sabotage du système pénal. Et ce sabotage était non seulement prévisible, mais il était prévu.
Je les entends d’ici ceux qui disent que prétendre que la politique pénale de la gauche aurait un caractère volontaire est exagéré et que chacun a le droit de bénéficier du doute. Après tout, nul ne sonde les coeurs et les reins. La belle affaire ! Seuls peuvent bénéficier du doute ceux qui reconnaissent leurs erreurs. Or ici, si la gauche avec tous ses relais médiatiques vous interdit de dénoncer les effets de sa politique en vous prêtant des intentions de « récupération », c’est parce que le pouvoir en place a mis en oeuvre une politique et n’a aucune intention d’en changer. Et pour s’éviter la pression populaire, il interdit même de s’en indigner. Les avocats de la partie civile ont bien récité la leçon au bon peuple sommé de la boucler.
Lola c’est la douleur de tous.
Loin de moi l’idée de minimiser la souffrance d’une famille devant l’indicible. Comment une maman (le papa en est mort) peut survivre à cela ? Mais il faut bien reconnaître qu’il est impossible à chacun de nous de ne pas voir en Lola une fille une nièce, une soeur, bref une proche… Il n’est pas possible de ne pas voir dans cette famille qui souffre au-delà de ce qui est permis, tout simplement nous-mêmes. Il serait donc défendu de hurler de douleur parce que des gauchistes gavés de tout et ivres de pouvoir imposeraient silence ?
Parce que sans la gauche, avec une politique migratoire simplement raisonnable, avec une législation raisonnable appliquée dans toute sa rigueur, Lola serait aujourd’hui en vie.
Une immigration raisonnée où seuls pourraient s’installer dans notre pays les étrangers dont le pays a besoin et une loi qui reconduit à la frontière toute personne pénétrant ou séjournant illégalement sur notre territoire, et l’indicible, l’innommable ne se serait jamais produit. C’est tellement simple et tellement vrai que les gauchistes ont besoin de terroriser ceux qui osent le dire.
Et voilà qu’on nous vend, pour calmer ou plutôt pour étouffer le chagrin et la fureur, une perpétuité réelle. Quelle farce ! Tout le monde en effet sait très bien qu’il n’existe pas de peine adéquate pour la meurtrière de Lola. Tout le monde sait que la perpétuité réelle n’est appliquée pour personne. Quand l’évêque de l’Aube a fait pression sur les jurés du procès de Patrick Henri en 1976 pour que ne soit pas prononcée la peine de mort, on nous avait promis aussi que le condamné ne verrait jamais la lumière du jour hors de la prison. Il a pourtant été libéré. Philippe Maurice, condamné à mort et gracié pour le meurtre d’un gardien de la paix est aujourd’hui libre. N’en doutez donc pas, Dahbia Benkired sera elle aussi libérée un jour. On vous expliquera qu’elle a favorablement évolué, qu’elle a fait des études (on rigole) ! On vous expliquera qu’il est inhumain de laisser en prison un détenu sans aucun espoir de rédemption. Les gauchistes ne sont jamais à cours de mauvaise foi dès lors qu’il s’agit de défendre les bandits et les criminels. Et bien sûr, à l’issue de sa peine, il est hors de question d’expulser Dahbia Benkired vers l’Algérie. Ce serait là aussi un traitement inhumain pour une personne qui n’a rien fait pour mériter une double-peine. Voilà les délires de la gauche ! Non ! La seule peine appropriée à Dahbia Benkired est la peine de mort. 80% des Français ne voient pas pourquoi ils devraient nourrir des années une Algérienne séjournant clandestinement sur notre territoire pour y semer la mort.
Quant à savoir si la meurtrière a agi seule et pour son propre compte, on peut supposer que la panique de la gauche au sujet d’une « récupération » imaginaire pourrait servir à cacher bien des choses.
Jacques Frantz
Bonjour,
Et encore, je te parie une bouteille de champagne qu’un écrivaillon d’extrème gauche va nous pondre un bouquin romancé sur cette affaire, présentant Dahbia Benkired
comme une personne romantique et tourmantée.
En la matière, les délirs à la Marguerite Duras ont fait des petits.
Il se peut même qu’un cinéaste foireux nous ponde un truc, on n’est à l’abri de rien quand il s’agit de défendre bec et ongles le pauauauvre immigré malmené par une France raciste.
C’est curieux, quand l’auteur des faits n’est pas un mâle blanc, on ne parle pas de féminicide et autres salades.
et pendant ce temps-là on se tait sur le massacre des enfants écrabouillés, 3 toutes les 2 secondes, dans le ventre de leur mère. Pas besoin de rituel satanique. Pas besoin de valise non plus, un sac plastique suffit.
https://www.planetoscope.com/natalite/1498-avortements-pratiques-ivg-dans-le-monde.html
Déni de grossesse, coupage de cheveux en 4 sur le thème du statut de l’embryon, ce ne sont là que quelques-unes des fadaises qu’on nous sert régulièrement pour justifier cette dissociation cognitive, pour rester polie !
Oui effectivement, on trouve toutes les excuses. Je ne vous dis pas ce que je reçois en privé.
Bonjour,
J’ajouterais concernant le procès de l’affaire Lola qu’il reste un angle mort qui n’intéresse absolument ni la justice, ni les médias de grands chemins.
Il s’agit des effets mortiphères et délétaires de la sorcellerie dans les cultures arabes et africaines, sachant que nous avons des milions et des milions de ces populations chez nous.
C’est un aspect, à mon avis très important de cette affaire, et si j’ose dire, un tapis que personne ne voudra soulever, et surtout pas le RN d’ailleurs, très très discrêt sur ce sujet comme sur à peu près tout désormais.
Il me revient d’ailleurs une anecdote: mes parents étaient en voyage en turquie le 21 Juillet 1969 quand Neil Armstrong et ses collaborateurs ont atterri sur la lune.
Hors la lune est quelque chose de très sacrée dans la mythologie turque.
D’où des scènes diaboliques dans les rues d’Istanbul quand la télévision mondialisée à retransmis ça.
Hé oui, on nous vente tout le temps le cosmopolitisme et les bienfaits du multuculturalisme, sans faire le moins attention aux chocs des cultures, des croyances et des sacrés.