RELAYEZ SUR VOS RÉSEAUX
J’ai eu envie de réserver une belle surprise aux amateurs de belle radio. C’était au temps où la radio était intelligente et où les images sortaient de la tête des auditeurs au lieu de celle des parasites qui veulent les manipuler.
C’était aussi le temps où les voix de la radio étaient des stars parce qu’imaginatifs.
Ce podcast ne se veut pas nostalgique. Il se veut rafraîchissant.
J’aurais pu faire un podcast de plusieurs heures tant il y a de choses à dire. Je vous promets que je ne dépasse pas l’heure.
J’ai bien conscience que ce podcast st en particulier s’adresse à un public peut-être un peu restreint encore que… Allez-y surprenez-moi.
Si vous connaissez des personnes que ça peut intéresser, surtout n’hésitez pas à leur faire connaître l’épisode de ce mois.
Merci de votre fidélité.
Jacques Frantz
Radio retro
Macha Béranger et Jean-Charles Aschero
Mon article sur Jean-Charles Aschero
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Merci infiniment pour ce raffraîchissant podcast sur les grandes heures et les grandes voix des grandes ondes ! Si je puis toutefois me permettre un rectificatif, ce n’est pas Ève Ruggieri qui a mis fin aux Choses de la Nuit, mais son successeur à la direction des programmes, le sinistre Jacques Santa-Maria. Ève Ruggieri, c’est elle qui, pendant son éphémère passage comme directrice, avait réduit l’émission a un peu plus de 2 heures. C’est sous sa direction catastrophique que, par force des choses, la séquence Extérieur Nuit est devenue Intérieur Nuit, Jean-charles n’ayant plus d’autre choix que de recevoir ses invités en studio. Fini l’heure consacrée au cinéma où il y avait d’abord un jeu, puis des auditeurs qui venaient débattre d’un film avec son réalisateur. Je me souviens par exemple de la discussion passionnante qui avait eu lieu dans ce cadre avec Yves Boisset pour « Le Prix Du Danger », un film dérangeant sur les dérives des jeux télévisés. Profitons de cette évocation pour saluer l’étoile du grand poète Louis Amade, ami de Jean-Charles et qui, presque jusqu’à sa mort le 4 octobre 1992, venait régulièrement à l’antenne se raconter, lire des poèmes et échanger avec les auditeurs, avec le chaleureux et inimitable accent catalan qui le caractérisait. « Il y a des moments si merveilleux… » Et bien sûr, le mois prochain, peut-être pas même heure mais en tous cas même endroit, un autre balado de la réplique !
Salut Jack!
Merci pour ce chouette épisode, une véritable machine à remonter le temps. Même si j’étais plutôt radios musicales, certains des grands noms que tu as cité m’ont apporté beaucoup de plaisir. Je ne connaissais pas les choses de la nuit de JEAN-Charles Aschero, mais j’adorais les enquêtes du Commissaire Joubert dont certaines passaient dans une émissions de Brigitte Karnel je crois. Heureusement que je partais à l’étranger tous les ans où je ne pouvais écouter que les grandes ondes, ce qui m’a permis de découvrir de fantastiques émissions que je n’aurais peut-être pas écouté par ailleurs.
N’hésite pas à nous refaire un autre épisode sur ce thème, je serai de l’autre côté du poste! 🙂
Merci de ton commentaire. Bien entendu, si l’occasion se présente, je ne manquerai pas de traiter ce sujet de la radio qui, (tu n’es pas le seul), a beaucoup plu. Même si je pense avoir tout dit sur le sujet, on ne sait jamais.
J’en profite pour remercier l’ensemble de ceux qui laissent des commentaires. Même si je ne réponds pas à tout le monde, je lis absolument tout.
JF
Merci Jacques pour cette vrai madeleine sonore.
J’étais aussi grand amateur de nombre d’émissions radios et la nuit en particulier, les histoires écrites et lues par Brigitte Kernel par exemple.
J’ai beaucoup aprécié aussi les émissions diurnes cette fois de spectacles, d’histoires plus ou moins osées, puis de reportages de Daniel Mermet. Avant qu’il ne se contente de devenir le porte-voix de l’association Attac et de ses satellites.
Le nombre d’émissions radios qui ont rhythmée mon enfance, à une époque ou il fallait absolument écouter en direct pour ne pas louper un épisode, serait trop important à lister ici.
La radio fut une compagne fidèle et divers qui m’a beaucoup divertie, instruit et fait vivre l’histoire en train de se faire, je me souviens avoir vécu heure par heure le putch de quelques Apparatchiks à Moscou en Août 1991. j’avais alors 16 ans et j’étais en vacances chez ma grand-mère, une personne hautement cultivée qui, devenue aveugle, était elle aussi très fan de son transistor.
Je me permets cependant pour conclure de vous recommander les rediffusions nocturnes d’archives de France Culture de la nuit.
Il y a de temps à autre de vrais pépites.
Le podcast s’appelle « Les nuits de France Culture »
Je tâche de garder pour ce qui me concerne tout ce qui peut parler de nos traditions, de la ruralité française et des accents de nos provinces.
On peut aussi écouter les archives de ce podcast sur le Web :
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-nuits-de-france-culture
Merci Arnaud. Je ne vais pas manquer d’aller voir les archives des nuits de France Culture.
Pour ce qui est de Daniel Mermet, moi aussi j’appréciais beaucoup quand il racontait ces histoires absolument angoissantes. Après ça s’est juste transformé en une plateforme militante sans aucun intérêt.
J’ai passé de très bons moments.