L’ABAYA, UN ÉCRAN DE FUMÉE DU POUVOIR MAÇONNIQUE ET RÉPUBLICAIN
Voici plus de dix jours que le Pouvoir nous les brise avec cette histoire d’abaya. Tu vas me dire, belle lectrice, que je n’ai guère le droit de me plaindre qu’on en parle trop, dans la mesure où j’en parle moi-même. Nous sommes d’accord. Cela dit, nous sommes une publication d’opposition. Si je ne critique pas le Pouvoir, je n’ai plus qu’à fermer boutique.
Cependant, j’observe que la ficelle est à peu près aussi grosse que ma cuisse et surtout assez éculée. En effet, on ne compte plus les noms d’accoutrement ridicules pour lesquels la République nous promet d’exercer sa plus grande rigueur. En gros ça fait 40 ans que ça dure! On a eu le tchador, le niqab, la bourka, maintenant c’est l’abaya, et la liste n’est pas exhaustive.
Chaque fois, le numéro de cirque est bien rôdé: la presse du pouvoir vous explique qu’il existe un accoutrement nommé X (c’est en général un nom dont vous n’avez jamais entendu parler), que cet accoutrement constitue un signe religieux ostentatoire ou ostensible et que la République étant laïque personne n’est sensé s’attifer de la sorte dans certains lieux publics comme l’école ou le lieu de travail. Bien sûr, chaque fois, nous allons voir ce que nous allons voir, l’État communiste ne transigera pas et gare aux contrevenants ça va barder.
Chaque fois, vous avez Malika et Fatima qui refusent d’obtempérer. Le directeur d’établissement doit se débrouiller comme il peut, tout sanglé qu’il est dans sa dignité maçonnique et républicaine. Pour la galerie, Malika sera interdite de cours, mais comme l’école est obligatoire, elle ira au CDI. Et puis l’homme est ainsi fait qu’il oublie. Mais bon, ça semble marcher tellement bien que le Régime met une pièce dans la machine chaque fois qu’il le juge nécessaire. Soit pour cacher une information (une “contre-offensive” qui n’aurait pas aussi bien marché qu’on l’aurait voulu, par exemple), soit pour faire mousser un politicien qui va à la pêche aux voix. Quand le Régime communique, c’est en général pour poser des problèmes qu’il ne veut pas régler. Car quel que soit le nom qu’on lui donne, l’abaya n’est qu’un bout de chiffon. Le problème, c’est son porteur, ou plutôt sa porteuse. Toutefois, qu’on ne s’y trompe pas. l’accoutrement n’est pas un signe religieux, mais une expression de haine raciale. Et l’objet de cette haine c’est nous. Nous qui accueillons, soignons, logeons éduquons. Cette haine est soigneusement entretenue par une gauche marxiste qui a toujours eu à coeur de diviser les gens. Le bout de tissu n’est en réalité qu’un leurre semblable au leurre qu’on met sous le muffle du taureau pour le faire charger dans le vide. Dans l’arène aussi le danger pour le taureau ne vient pas du bout de chiffon mais de son porteur. S’exciter là-dessus revient à s’épuiser sur un non sujet. De toute façon, si c’était un vrai sujet, les journalistes n’en parleraient pas avec la même complaisance.
Alors lâchez-nous avec vos histoires de chiffons. Car pendant ce temps, le pays crève. Les villes s’enfoncent dans la misère, dans les campagnes, les paysans sont persécutés, l’hôpital s’écroule et les gens n’en peuvent plus. Dans ces conditions, vos histoires d’habits qui à défaut de faire le moine, feront les imams de demain, mettez-les-vous où vous voudrez.
Jacques Frantz
pas tout à fait daccord.
L’islam nous teste en permanence, et désormais ils ont des financeurs et des relais comme Soros qui finance nombre d’associations qui prétendent défendre les pauvres musulmans de ce pauvre pays raciste qu’est la Fronce.
La rréalité, c’est qu’il faut aller au fond des choses :
qui a eu intérêt à les faire venir par milions en France? pour quelle raison, quel but?
Un petit indice: Moi, je crois que le fameux conférencier de Civitas n’était pas très loin de la bonne explication mais chuuutt.
Pourquoi on continue de les faire venir alors que le pays est dans un marasme moral et matériel total?
Pourquoi on ne peut pas les faire repartir?
voilà. Je suis navré, mais je ne puis ici que poser les questions sans donner les réponses qui me semblent être les bonnes.
Sinon ce blog pourrait être amené à fermer et ce serait regrettable.
Bonjour à tous,
Effectivement, je suis bien d’accord avec vous, même si j’ai quelques théories, sur la question: pourquoi ne pas les faire repartir. A mon avis, la première lacune de nos dirigeants, tout bords confondus, est, un manque de Courage évident. Comme l’a parfaitement évoqué M Frantz, nous sommes toujours dans un pays laïque. Cela semble échapper à de nombreux foyers de population. Nos campagnes étant un peu plus épargnées. Mais qu’elle ne fut pas ma stupéfaction, lorsque au cours de la dernière coup du monde, nous avons pu constater la stupidité avec laquelle certaines personne mélangent absolument tout. Même sur un terrain de foot, par plus de 35/40 degrés, on a pu constater des joueuses qui ne portent pas l’équipement comme ses propres partenaires. On ne les reconnais même plus, dans le désordre, legin, sous-pull, cagoule sur la tête et gants. J’aimerai bien que l’on nous explique, comment dans cette tenue, au plus fort de l’été, la ,ou les joueuses, peuvent défendre l’honneur de leur drapeaux, avec tout le respect qui se doit ! Tant il est impossible de jouer correctement et d’être performant dans ces ténues.
Encore une fois, les mêmes excuses. J’étais sûr et certain, a tort visiblement, que toutes ces choses là, ne pouvaient pas passer la barrière du sport. Où, on est tous égaux, et donc, tous habillés avec la même tenue.
LAISSEZ VOS DIFFÉRENCES AU VESTIAIRES.
LORNENZO.
Un petit ajout par rapport à mon commentaire de l’autre jour.
On ne peut pas reprocher aux musulmans de l’être. On ne peut pas leur reprocher de vouloir pleinement vivre leur religion, y compris le prosélitisme. , et on ne peut pas reprocher à l’islam d’être éminament politique, c’est ssa raison d’être depuis 1400 ans.
Quand Darmanin nous parle d’un islam qui serait compatible avec la république parce que non politique, ce ministre se fiche en long et en large de notre gueule. Et il le sait parfaitement.
Ce qui est grave, c’est que personne ne lui réplique ainsi, et surtout pas Marine le Pen qui, parce qu’elle espère pouvoir prendre le pouvoir un jour, est prête à dire toutes les stupidités et fadaises progressistes possibles.