ARRÊTEZ DE SOIGNER LES NON-VACCINÉS
L’autre jour j’ai été invité à manger chez des boomers gauchistes. Je ne crois pas que j’y retournerai de si tôt. Alors je t’entends lecteur! Tu vas encore me dire que j’avais le choix… Que je n’aurais pas dû… Que ceci que cela… Bon il se trouve que je suis d’un naturel gentil et que j’ai eu envie de faire plaisir. Et puis on m’avait dit: “On ne parlera pas du COVID.” Immanquablement le sujet a fini par arriver sur le tapis. Et là, j’entends: “Les gens qui refusent de se faire vacciner, qu’on cesse de les soigner. Plus de couverture maladie pour ceux qui refusent le vaccin.” C’est là, belle lectrice que je regrette mes vingt ans. Parce qu’avec ne serait-ce que quelques années de moins, je crois que j’aurais cassé quelques mâchoires. Oui je sais tu es contre la violence. Eh bien pas moi! Un jour peut-être j’écrirai un truc sur la violence. Ce n’est de toute façon pas le sujet.
Donc des boomers qui touchent des retraites de nababs, qui ont profité de tout et qui ont l’intention de profiter le plus longtemps possible. Ces gens-là sont des pervers narcissiques dangereux. Parce que si on les suit sur ce terrain, avant de soigner un accidenté de la route, on enquêtera pour savoir s’il avait sa ceinture, son permis et si son véhicule a bien passé le contrôle technique. De même, que fait-on des vaccinés victimes d’effets secondaires du vaccin? Après tout ils ont joué ils ont perdu.
Je pense que les injectés sont en train de devenir fous. Parmi ceux qui se sont précipités sur le vaccin par conformisme ou suivisme du pouvoir en place qu’ils ont plébiscité pour protéger leur épargne, nombreux sont incertains de leur choix. Sauf que plutôt que d’admettre qu’ils se sont trompés, ils préfèrent rester dans leur erreur et y entraîner les autres, y compris leurs propres gosses. Ils tueraient père et mère pour hériter, et ils tueraient leurs gosses pour continuer de surconsommer et de jouir. J’avoue qu’il faut beaucoup de force de caractère pour ne pas se laisser envahir par la haine.
Alors bien entendu il faut résister à tout prix à cette tentation de haine. Cela dit, il faudra être intraitables à l’heure des comptes. Justes, mais intraitables.
Jacques Frantz
Moi aussi j’aspire à résister à la tentation de la haine, désespoir, exaspération et ras-le-bol étant tout aussi mauvais conseillers que mauvais maîtres… cependant quand ce sont les mêmes non-violents de pacotille qui, parce que vous n’acquiescez pas à leur discours de perroquets des médias de grand chemin, vous souhaitent, en toute bienveillance ça va de soi, d’attraper l’animal couronné et de finir en réa, histoire que cela vous serve d’expérience (j’ai recueilli plusieurs témoignages en ce sens et pas seulement sur Internet), il y a tout lieu de se dire que quelques légitimes et salutaires paires de claques se perdent par moments ! Cela dit, à tous ces braves gens tellement préoccupés de l’argent public (la gauche caviar en ayant toujours fait bon usage au temps de sa gloire, c’est bien connu !), je suggèrerais volontiers qu’on module les soins à leur prodiguer le jour où ils feront un AVC ou une crise cardiaque, en fonction de la consommation qu’ils ont faite au cours de l’année écoulée des plaisirs de la vie considérés comme « malsains » par leurs chers amis qui tiennent tant à la décroissance au nom du respect de la nature… et que ceux dont on estime qu’ils mériteraient de ne plus être soignés aux frais de la solidarité nationale aient parallèlement le droit de retirer leurs billes de la Sécurité Sociale, cette grande pourvoyeuse de remboursements certes mais aussi de prélèvements obligatoires y compris sur les revenus les plus modestes par le biais de la CSG par exemple, et… de fraudeurs, mais c’est là encore un autre débat.
Très pertinent encore une fois. Je le dis et le répète parce que je sais que ça agace!
Bonjour Jack.
Ne t’inquiètes pas, une bonne partie de ces boomers ne seront pas très bien accueilli par notre Seigneur quand sonnera l’heure. Parce qu’une très large partie de cette génération n’a rien transmis que l’égoïsme hédoniste , parce qu’ils ont bénéficier de tout sans jamais vouloir partager avec les plus jeunes ni lâcher les manettes du pouvoir.
Je crois hélas pour eux que le feu des enfers ronronne déjà.