LÂCHEZ-NOUS AVEC LES FEMMES AU POUVOIR

Atelier de François Clouet. Catherine de Médicis (1519-1589), reine de France (sans cadre). Paris, musée Carnavalet.

LÂCHEZ-NOUS AVEC LES FEMMES AU POUVOIR

Marie-Béatrice, aux fourneaux!
Depuis ma série de tweets du 1 avril concernant l’occupation par des femmes de postes de direction dans les entreprises et autres organisations, je n’ai pas l’impression de m’être fait que des amies. Cependant, je demeure conscient que lorsqu’on défend les idées que je défends dans ce blog depuis plus d’une décennie, on ne se fait pas beaucoup d’amis, encore que… Non, pour se faire beaucoup d’amis, il faut être consensuel et dans le camp du bien. Et comme je n’ai qu’une conscience, je préfère vivre en accord avec le bon sens et je m’honore d’y parvenir raisonnablement. Cela étant dit, on m’a demandé de m’expliquer sur l’expression de mon hostilité à la présence hyperféminisée aux postes de responsabilité. Il faut l’admettre, nos sociétés sont patriarcales. De Dieu le père au PDG, il est de coutume que ces positions soient tenues ultra-majoritairement par des hommes. Or voilà un peu plus d’un demi-siècle que des petits Khmers rouges tentent d’inverser la tendance. Et tout est bon! Humiliations, brimades, incitation à la haine, inversions accusatoires, terrorisme intellectuel… je m’arrête là.
À La question de savoir pourquoi un tel déséquilibre historique apparent, le camp du bien répondra immanquablement que les femmes ont trop longtemps été victimes de l’oppression masculine, mais qu’on se rassure, tout cela est en train de changer grâce à l’arrivée de Simone de Beauvoir venue mettre fin à au moins 20 siècles de domination masculine bien membrée. C’est dans ce contexte qu’on s’est mis à pratiquer la discrimination positive. Et moi qui croyais (naïf que je suis) que la discrimination c’était mal.
Bien entendu, les résultats ne se sont pas fait attendre. Il se trouve que j’exerce dans des milieux qui ont été, ces dernières années, ultra-féminisés. C’est une catastrophe dans 100% des cas. La femme forte et indépendante qui vous dirige est violente, mal élevée, de mauvaise foi ou encore impétueuse, là où il faudrait de la sérénité, du recul et de la réflexion. Incapable de prendre de la hauteur, Mme la Directrice en chef panique, perd pied, trouve des coupables et sanctionne avant même de chercher les causes de la situation. Elle ne voit que les conséquences. S’il y a le feu, elle va préférer engueuler les pompiers qui ne sont pas arrivés assez vite plutôt que les laisser éteindre l’incendie. Comme nous tous, Mme la Directrice en chef a eu le crâne bourré d’idées imbéciles selon lesquelles l’homme blanc est oppresseur depuis la nuit des temps. Du coup, elle voit son subordonné non comme un collaborateur, mais comme un objet de vengeance. Convenez avec moi que tout ça ne peut qu’aboutir à des résultats calamiteux.
Est-il besoin de préciser que je décris ici une tendance. Le pire, est que déceler à la marge les individus du sexe dit faible capables d’occuper des postes devient presque impossible. Il est pourtant essentiel que chacun dans la vie soit à la meilleure place. Seulement là, ce n’est pas ce dont il s’agit. On nous impose à marche forcée des gens à des fonctions en raison de leur état et non de leur valeur, ce qui conduit tout droit dans le mur. Mais chez des décideurs où seule l’idéologie prime, il n’y a rien à attendre.
À la tête des États, c’est guère mieux. De Catherine de Médicis à Margaret Thatcher, l’expérience consistant à être dirigés par une femme a non seulement été désastreuse, mais encore violente et mortifère. De la Saint-Barthélémy à Bobby Sands, la main de la femme n’a jamais tremblé pour ordonner la mort. “Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens.” Allez donc vendre la douceur de Victoria Nuland aux Ukrainiens ou celle de Madeleine Albright aux Iraquiens.
J’entends déjà d’ici ceux qui me disent que l’incompétence et les atrocités c’est aussi masculin, ou encore qu’il y a beaucoup plus d’hommes corrompus que de femmes. J’en conviens, cependant, à l’heure des bilans et des proportions il faut être bien malhonnête pour ne pas reconnaître que ces politiques ne sont pas désastreuses. Et si depuis des siècles les femmes n’ont que très minoritairement occupé des postes à responsabilité, peut-être faut-il se demander si ce n’est pas tout simplement un effet de la loi naturelle qui veut que les femmes aient un autre rôle tout aussi indispensable à jouer. Mais ceux qui se croient au-dessus des lois naturelles s’en moquent puisqu’ils sont là pour détruire. En effet, l’humanité est-elle plus heureuse depuis que les femmes tirent sur leurs clope comme des mecs? Sommes-nous contents de voir des boomeuses prendre leur coup de blanc dès 9 heures du matin avant d’aller copuler dans une association d’aide aux migrants? Alors oui, je fais partie (et je vous emmerde) de ces vieux réacs qui pensent que le pouvoir sera mieux exercé par un homme qui trouve le réconfort auprès d’une épouse aimante et d’une famille stable que par Marie-Béatrice qui depuis un bureau trop grand pour elle fait chier son monde à longueur de journées, qui panique pour un oui pour un non et qui croit qu’une décision est bonne parce que c’est “sa” décision.
Divorcée deux fois, aucun mec sensé ne veut d’elle. Aussi, va-t-elle recruter Jean-Étienne parce qu’il est beau mec, et une fois dans la place elle va le tyranniser, lui briser les reins à chaque bonne décision qu’il pourrait inspirer.
Surtout qu’on ne me fasse pas croire aux bonnes intentions des gauchistes. Quand ils vous disent que c’est pour la justice, pour rééquilibrer les choses et qu’une fois la parité obtenue, promis on s’arrête, ce sont des bêtises. En Suisse, les exécutifs cantonaux majoritairement dirigés par des femmes ont des bilans catastrophiques et on vous explique que bien sûr elles sont majoritaires, mais que bon, vu qu’elles ont été inexistantes pendant des millénaires, il est bien normal qu’elles dominent. C’est là que je vois rouge et que j’ai envie de coller dans les mains de Marie-Béatrice un balai et une serpillère. Parce que cette politique terroriste n’a pas permis que les pays ou les entreprises soient mieux administrés et que les gens soient plus heureux. Par conséquent, avec un tel passif on apprend à se servir d’un aspirateur et on la boucle.

Jacques Frantz

1 commentaire

  1. C’est une femme qui le dit, en toutes choses je préfère que le travail soit fait par un homme compétent et qui maîtrise son sujet que par une idiote que seule l’idéologie a placée là où elle se trouve et non ses capacités intellectuelles ou professionnelles. C’est le bon sens le plus élémentaire mais cela ne fait plus recette de nos jours.

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