RELAYEZ SUR VOS RÉSEAUX
ГОВОРИТ МОСКВА ICI MOSCOU
C’est bien connu, la gauche ment. Elle présente les choses non à travers la réalité, mais à travers le prisme idéologique qui présente les réalités non comme elles sont, mais comme on voudrait qu’elles soient.
Or, parmi les gauchistes, les plus menteurs, les plus extrémistes et donc les plus dangereux, nous avons les écologistes. Je ne t’apprends rien, belle lectrice, si je te dis que l’écologie politique n’est qu’une mutation du virus communiste. Force est de constater que le communisme et l’écologie politique se ressemblent : comme le communisme, l’écologie politique est ultraminoritaire dans l’opinion. Comme le communisme, l’écologie politique a, pour imposer son idéologie, systématiquement recours à la force, à la violence, à l’intimidation et au mensonge. On ne compte plus les blocages de routes, les dégradations sur les chantiers et les occupations illégales de terrains.
Parmi les mensonges, outre le bien connu “ réchauffement climatique ”, nous avons l’histoire du plastique au fond de la mer.
Belle lectrice, tu t’en souviens, il y a peu de temps encore, quand tu allais faire tes courses tu recevais en abondance des sacs plastique pour les ranger et les transporter aisément. La grande distribution, partagée entre rendre tes achats pratiques et fluides et faire des économies fussent-elles de bouts de chandelles, a cherché une solution pour les faire payer. Comme gauchisme et ultralibéralisme marchent toujours main dans la main, elle a inventé cette fable, selon laquelle les sacs en question consommés en trop grande quantité, finiraient au fond de la mer, et ainsi, les particules de plastique passeraient dans la chaîne alimentaire. Comme si Madame Michu stockait soigneusement les sacs dont elle ne voulait plus pour aller les jeter dans la grande bleue pendant ses vacances à Palavas. Mme Michu, lorsqu’elle ne veut plus de ces sacs, les jette simplement dans sa poubelle qu’elle confie aux services de ramassage des ordures ménagères, services qui lui sont facturés. Autrement dit, si les sacs maudits finissent dans la mer, cela veut dire que le traitement des déchets et défaillant, et que Mme Michu est mal servie.
La réalité est hélas bien différente. Je me suis rendu voilà quelques années sur les plages vietnamiennes. Or là, j’ai constaté que lesdites plages étaient véritablement jonchées de plastiques de toutes les qualités. La fameuse Baie d’Along classée au patrimoine de l’humanité est un véritable dépotoir. Tout ça est bien sûr passé sous silence car le gauchiste est aussi tiers-mondiste. J’ajoute que la délocalisation de l’industrie, en plus de générer du chômage et de la misère, génère aussi une considérable pollution. Il y a d’une part le transport par containers, très polluant en soi, mais ce qu’on sait moins, c’est qu’il y a le délestage en cas d’avarie ou de mauvais temps qui fait que des containers entiers se retrouvent à la mer. Or convenez avec moi qu’un container de bagnoles à la mer pollue davantage que le sac plastique de Mme Michu.
Par conséquent, si on veut vraiment réduire la pollution, qu’on commence par relocaliser la production au plus près de la consommation. Et au lieu de faire payer au prix fort à Mme Michu ses paquets, qu’on fasse payer aux intermédiaires le transport au juste prix, en y incluant la pollution. Sauf que sur le sujet, les écolos sont silencieux.
Jacques Frantz
Il me semble que ce dont j’en veux le plus à l’idéologie communiste et à ses avatars, c’est précisément, à grand renfort de culpabilisation et d’intimidation, d’avoir égaré tant d’âmes généreuses. Et en effet l’écologie politique est un de ceux-là, 2 poid 2 mesures, géométrie variable etc. à l’appui.
Catastrophisme et culpabilisation sont les deux mamelles des faites-comme-je-distes
et donneurs de leçons (la seule chose qu’ils savent donner) et surtout piqueurs de sous
Bonjour,
Sans vouloir faire ici de l’ethnicisme de pacotille, il semble bien pourtant que de l’afrique à l’asie, en passant par le moyen orient, utiliser la mer pour y jeter touts types d’ordures soit une pratique quotidienne qui concerne à peu près 95 pourcent des pays de notre pauvre planète.
Et croyez-moi, dans les zones concernées, ça ne dérange vraiment pas grand monde.
Le drame ici, c’est bien la matière plastique en elle-même, encore que cette chymie a largement par ailleurs permi une augmentation de l’hygiène un peu partout.
La colonisation avait justement pour objectif de faire changer un certain nombre de choses et de mettre fin, si besoin par la force, à un certain nombre de vices et de mauvaises habitudes dans les pays concernés, y compris en terme de gestion et préservation de la ressource comme on dit de nos jours.
Vices et habitudes qui ont repris immédiatement après le départ du colon bien entendu..
Voilà, voilà. donc donc préparez votre vie dans l’eau-delà en étant écolo tant que vous voudrez, mais prenez juste conscience que 90 pourcent de l’humanité de cette pauvre planète s’en fiche totalement.