ГОВОРИТ МОСКВА ICI MOSCOU
Les médias de grand chemin ne manqueront pas d’indignité au moment de commémorer les attentats du 13 novembre 2015, venus clôturer une année sanglante qui avait commencé en fanfare avec les attentats de Charlie. Tout le monde se rappelle comment la propagande avait sommé le bon peuple d’entonner “je suis Charlie”, au risque, pour les contrevenants, d’essuyer l’opprobre de la communauté nationale.
Tout propagandiste qui se respecte sait qu’un public émotionnellement déstabilisé ou choqué est beaucoup plus perméable à la propagande. Et là, nos dirigeants n’ont pas lésiné. Même Netavoyou avait fait le déplacement pour nous signifier que “Israël vivra”.
Pour autant, (et c’est là l’essentiel de mon propos), l’indignation est bien encadrée.
Si les attentats évoqués plus haut ont bouleversé le bon peuple, celui-ci a pour obligation de suivre la feuille de route de l’indignation établie par le régime.
Canonisation républicaine des victimes de la salle de rédaction de Charlie Hebdo, et “pas d’amalgame” ou “vous n’aurez pas ma haine”, ne sont là que quelques exemples des mots d’ordre dont il est interdit de s’écarter.
En revanche, interdit de questionner, même brièvement, les politiques d’immigration, la présence d’armes dans les banlieues ou même la gestion de la crise du 13 novembre. Et gare aux victimes qui s’écarteraient de cette feuille de route. Elles perdraient immédiatement leur statut de victime, pour revêtir aussi immédiatement celui de réac ou facho.
Voilà le caractère cruel, criminel et terroriste de ceux qui nous dirigent. La gestion de la crise par François Hollande, c’est “circulez il n’y a rien à voir”. Dans la démocratie où on prétend nous faire vivre, la gestion de la crise aurait dû au minimum faire l’objet d’une enquête indépendante… Mais chez les bandits qui nous gouvernent, c’est l’omerta. C’est à cela qu’on voit le caractère mafieux du régime que nous subissons.
En 2015, les victimes n’ont été qu’un faire-valoir. Pour les victimes des attentats en France, c’est la double peine. Après avoir subi la violence des attentats dont l’immigration est directement responsable, les victimes subissent la violence du régime qui canalise leurs larmes.
Mais pour vous lecteurs qui critiquez l’immigration, ne pouvez-vous pas supporter qu’un peu de sang coule sur les trottoirs pour que les bobos puissent se faire livrer des soushis ou de la cocaïne à 4 heures du matin?
Jacques Frantz
Encore un truc de complotiste, mais on peut quand même se poser des questions : le 13 Novembre 2015 au soir, des gendarmes avaient le doigts sur la gachette et étaient prêt à intervenir, ce qui aurait pu éviter une très grande partie du massacre. On leur a demandé expréssément de ne pas le faire. Qui est ce « on » ?
et pourquoi le « on » en question n’a pas été démissionné, pour le moins?
Un autre truc, on nous dit qu’au final, Salah Abdeslam a pu, le 13 Novembre toujours le soir même se prendre un MCdo et dormir dans une cité, très tranquillement, mais non sans avoir raconté à quelques frères de religion, ce à quoi il venait de participer.
Avec tout ce que le big data peut récupérer comme localisation, on ne comprend pas pourquoi il n’a pas été possible de loger cet individu dans la nui-même.
Est-ce que certaines cités sont aussi impénétrables que le maquis Corse?
On nous a amusé la gallerie avec un crétin / second couteau qui aurait « loger » des islamistes sans le savoir ou sans vouloir le savoir. Ca fait rigoler les gens, ça distrait pas mal, ça évite de creuser en profondeur les causes de tout cela. Aucun ministre de l’intérieur, aucun responsable de la police, aucun militaire n’a eu à rendre des comptes.
En attendant, « la réalité du terrain » prouve que finalement, ça va être très compliqué de nommer un établissement scolaire du nom de Samuel Paty, que des plaques sont systématiquement dégradées, des stèles aussi.
Même nommer une école Arnaud Beltrame, ça devrait faire davantage consensus sur le papier, mais en fait non, il y a des communes ou ça « bloque ». et ça bloque pas seulement du fait d’une population immigrée partiellement ou plus largement hostile, mais aussi à cause d’enseignants d’extrème gauche.
Quand est-ce qu’on fout à la porte ses enseignants, pour le moins?
Quand il s’agit de Simonne Veil, là, curieusement, les préfets ont toutes la lattitude pour agire si un gribouilli est fait à la craie sur une plaque de rue, cf. à Laroche-Sur-Yon il y a quelques mois.