DÉCIDÉMENT, MÊME AU BRÉSIL, LES ÉLECTIONS VOLÉES, ÇA NE PASSE PAS.

DÉCIDÉMENT, MÊME AU BRÉSIL, LES ÉLECTIONS VOLÉES, ÇA NE PASSE PAS.

Nous avons tous en tête les images du Capitole de 2021. Une chose ici nous intéresse, c’est le traitement de l’information. Traitement de l’information qui tendrait à accréditer le vol de l’élection. En effet, depuis plus de deux mois, des protestations ont lieu au Brésil pour contester l’élection du communiste et corrompu (en général ça va ensemble), Lula da Silva.
Plusieurs preuves que l’élection a été volée et que les médias aux ordres de la mondialisation le savent:
Alors que les médias annonçaient à grand renfort de sondages truqués une large victoire du repris de justice communiste pour un second mandat, on a été obligé de modifier le narratif (comme on dit maintenant) en annonçant des résultats très serrés. Rappelez-vous que les journalistes voyous donnaient le coco élu dès le premier tour.
Ensuite, pas un mot sur les protestations monstres qui ne cessent pas depuis que les résultats ont été proclamés. Voilà une bien curieuse manière de transmettre l’information.
Et puis, il y a eu les incidents du weekend qui tout d’un coup, ont donné des boutons à tous les menteurs de la planète, de CNN à BFM.
La technique est assez simple:
On met en place un système électoral compliqué et très faillible qui laisse des portes ouvertes à la fraude. Ensuite on fraude massivement sans presque se cacher, puis on hurle au fascisme si les perdants victimes de la fraude osent protester.
Ça a marché en 2020 aux États-Unis, il n’y a aucune raison que ça ne marche pas en 2023 au Brésil.
Y a-t-il besoin de preuves de mauvaise foi?
Si ces gens-là étaient de bonne foi, il leur suffirait de mettre en place un système de vote transparent où la contestation n’aurait aucune place. Vous me direz que le risque zéro n’existe pas. Cependant, on peut considérablement réduire ce risque.
Nous l’avons suffisamment dit dans ces pages, mais il est utile d’y revenir puisqu’il paraît que c’est en répétant que ça rentre.
Il faut des élections contrôlables, transparentes et traçables.
Les électeurs se rendent aux urnes physiquement.
Il est vérifié si l’électeur est inscrit sur les listes électorales et peut voter. L’électeur introduit dans une urne transparente une enveloppe contenant ou pas un bulletin correspondant aux critères de validités préalablement définis par le code électoral.
Le dépouillement ne commence que quand le scrutin est clos et il est public. Le nombre de bulletins doit correspondre au nombre d’électeurs ayant émargé. Le résultat est affiché à l’extérieur du bureau de vote et est transmis aux autorités chargées de les centraliser. Chaque citoyen peut consulter les résultats bureau de vote par bureau de vote et refaire entièrement le décompte si tel est sa volonté.
Avec ça, fini les contestations. Sauf que la gauche globaliste veut pouvoir frauder car à Davos, à Washington et dans une capitale que je ne nommerai pas, on ne veut plus prendre le risque de la démocratie tout en en faisant les louanges.
Pour ce qui nous occupe au Brésil, tout ce qu’on risque d’obtenir c’est la guerre civile. Sauf que la capitale que je n’ai pas le droit de nommer, Washington et Davos se satisfont parfaitement du chaos.
Pour faire bonne mesure, qu’il me soit permis d’ajouter que lorsque le Président alors candidat Bolsonaro a été agressé à l’arme blanche, nous n’avons pas vue, (qu’un lecteur me corrige), les fraudeurs de l’information monter au créneau pour défendre la démocratie. Je n’ai pas oublié ceux, qui, lors de l’élection de Donald Trump ont souhaité publiquement sa mort…
Les grands donneurs de leçons de démocratie ne veulent jouer que s’ils gagnent!
Jacques Frantz

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