FRANCE, DERNIER PAYS COMMUNISTE AVEC CUBA ET LA CORÉE DU NORD?
En écoutant la radio la semaine dernière, j’ai failli verser une larme. Au carnet noir, on nous a annoncé la disparition du journal l’Écho Dordogne.
Au lecteur aussi ignorant que moi, j’apprends comme je l’ai appris ce matin non seulement que l’Éco Dordogne existait, mais encore que l’Écho Dordogne était un journal communiste. Parce que ça n’est pas pour me vanter, mais notre pays possède encore une presse communiste. Sauf que pour l’Écho Dordogne, c’est fini. Les journalistes ont dû se rendre à l’évidence, il n’y a plus personne pour lire les torchons cocos. Et lorsque plus personne ne lit un journal, forcément, il ferme. C’est de la simple mathématique.
Cependant, la radio nationale a cru bon de faire un reportage chargé de pathos autant que le coca-cola l’est de sucre. Et la radio nationale de nous faire pleurer sur la fin du pluralisme. Au risque de passer pour quelqu’un qui a mauvais esprit, je m’étonne du fait que la radio nationale ne verse pas les mêmes larmes lorsque un organe de presse patriote disparaît.
Alors désolé, mais quand on ferme un journal coco, c’est d’abord un hygiaphone à mensonges qui s’éteint. À l’heure où l’Éco Dordogne disparaît, souhaitons qu’il précède le communisme sous toutes ses formes dans les poubelles de l’Histoire.
Jacques Frantz
Je n’en veux pour preuve que ce qui arrive actuellement à Présent, quotidien dont les ressources publicitaires sont nulles et qui se voit refuser la subvention publique accordée jusqu’à l’an dernier, au motif que… son prix est trop bas ! De quel cerveau est sortie une telle explication sachant qu’il a fallu les 10 premiers mois de 2019 pour la mettre au monde… Une ficelle plus grosse que du vieux câble téléphonique mais dont je n’ai pas entendu dire le plus petit mot sur France Intow ni sur France Désinfo… qu’à leur décharge, je reconnais ne pas écouter en permanence !