RACAILLES D’EN BAS, RACAILLES D’EN HAUT

À moins d’être résident d’une planète à 100 années-lumière de la planète où se trouve une Fronse désormais sur voie express de tiers-mondisation, vous n’avez pas pu échapper aux événements qui occupent la police et le pouvoir toutes les nuits depuis qu’un “jeune” a été abattu par cette même police alors qu’il refusait d’obtempérer au volant d’une Mercedes.

Ce qu’on sait des faits

Le jeune Nahel, issu d’une famille venue enrichir notre pays qui sentait le renfermé, se fait remarquer par des comportements illicites et dangereux au volant de sa Mercedes. Enfin, quand je dis “sa” Mercedes, j’ai quelques doutes car on m’avait dit que les banlieues étaient pauvres ce qui justifie des injections d’argent à jet continu. Bref, à la deuxième tentative, la police finit par arrêter Nahel. Au lieu de se ranger sur le côté comme n’importe qui, il tente de redémarrer. Un des policiers, pour se protéger fait usage de son arme de service qu’il avait déjà dégainée. Après avoir traversé le bras du délinquant désormais victime, la balle se loge dans le thorax. Nahel décèdera vers 9 heures 15. C’est tragique. Je n’en ferai pas des tonnes car tout a été dit sur le chagrin inconsolable d’une maman en d’œil. En revanche, on ne peut que déplorer la perte immense pour notre pays d’un futur, qui sait, académicien, d’une future sommité des arts, des lettres et des sciences. Hélas le sort est cruel.

Maintenant analysons les faits

Si Nahel n’avait rien eu à se reprocher et s’il s’était conformé aux ordres comme doit le faire tout citoyen, Nahel serait vivant et continuerait de couler la vie paisible d’un citoyen ordinaire. Nahel a joué, Nahel a perdu. Nahel a eu une réaction de racaille ce qui s’est fini dans une tragédie violente. Or toutes les racailles de France et de Navarre qui n’attendaient que cela mettent depuis trois jours le pays à feu et à sang pour que s’exprime la haine que ces gens éprouvent pour nous.
Sans passer dessus comme chat sur braise, je ne veux tout de même pas trop m’attarder sur l’immonde récupération des gauchistes. Elle est immonde parce que lorsque la victime n’est pas de la bonne ethnie, les mêmes pleureuses interdisent à quiconque de s’émouvoir au risque d’être accusé de récupération. Ainsi, pour Mathieu Kassovitz, lorsqu’une victime sauvagement agressée est blanche, c’est un fait divers. Cette récupération est aussi immonde parce que les protagonistes de l’affaire sont déjà condamnés avant même le début de la moindre enquête. Pour la présomption d’innocence, on repassera. Et c’est le dernier point que je voulais aborder. Au moment où les policiers et gendarmes répriment sans faiblesse des citoyens qui manifestent parce qu’ils n’en peuvent plus de ce Pouvoir qui les fait souffrir, comment ne peuvent-ils pas garder dans un coin de leur tête qu’à la moindre difficulté ils seront lâchés par le Pouvoir de qui ils mangent la merde! C’est pourtant simple à comprendre. Qu’elles aient l’accent des banlieues ou qu’elles pantouflent sous les lambris des ministères, les racailles sont les racailles. Et les racailles d’en haut sont probablement pire que les racailles d’en bas. Se sont les racailles d’en haut qui ouvrent les frontières aux racailles d’en bas. Ce sont les racailles d’en haut qui importent massivement les islamistes de demain qui iront semer l’amour d’Allah dans les parcs où les gosses de koufars prennent le soleil. Se sont enfin les racailles d’en haut qui vous feront la morale si vous avez l’outrecuidance de ne pas trouver normal que des gosses qui pourraient être les vôtres se fassent égorger en plein jour.
En vérité, je vous le dis, il n’y a rien à récupérer. La police ou la gendarmerie, pour de médiocres considérations d’avancement, défendent les intérêts des racailles d’en haut. Et le jour où ça dérape, les racailles d’en haut se lavent les mains et disent à la police, “débrouillez-vous”. Le perdant, on le connaît. C’est le con de citoyen qui respecte (il est bien le seul), la loi et qui paie ses impôts. Cela fait plus d’un quart de siècle qu’on me dit que ça ne va pas durer et pourtant ça dure…

Jacques Frantz