CETTE SEMAINE, LA SUISSE ACCUEILLE LA 58ÈME RÉUNION DU GIEC

CETTE SEMAINE, LA SUISSE ACCUEILLE LA 58ÈME RÉUNION DU GIEC

Le GIEC (Groupe Intergouvernemental d’Étude des changements climatiques), c’est cette secte apocalyptique qui vous explique que l’humanité va disparaître si ce salopard de René persiste à rouler au Diesel. Et ça fonctionne vraiment comme une secte; avec son clergé, ses mécréants, ses théories du salut, de la damnation et de la rédemption, son paradis et son enfer. Or il se trouve que mon ami Jean Tantou, entant que fonctionnaire international, (personne n’est parfait), est de la fête. À sa sortie du dîner offert par le Gouvernement Suisse et donc les contribuables helvètes, il m’a raconté cette scène cocasse:
Il se trouvait à la même table qu’une partie de la délégation allemande. Tout ce beau monde devisait gaiement en expliquant que quand même, on était venu en train car quand on vient au GIEC, c’est tout de même la moindre des choses que de faire un geste pour la planète. Sauf que ces braves teutons (qui, soit dit en passant, conversent entre eux exclusivement en anglais), oublient de dire qu’il existe un train direct entre Berlin et Interlaken, (la bonne ville qui accueille le GIEC), bien plus pratique que l’avion. Je ne vous l’ai pas dit, mais tous les sujets de gauche y sont passés. L’écologie bien entendu, mais encore le racisme, l’Ukraine et j’en laisse sur le rebord de l’assiette pour éviter l’indigestion. C’est alors qu’une déléguée se tourne vers mon ami Jean pour savoir si le GIEC respecte bien l’équilibre des genres. Comme Jean est un petit coquinou qui cache mal ses relents fascisants et patriarcaux, il explique que d’après la communauté LGBT de Californie, il existe 73 genres différents et qu’il est par conséquent difficile de garantir à 100% une représentation parfaitement équitable. Devant la stupeur de la tablée progressiste manifestement un peu déstabilisée qui lui faisait remarquer que les Californiens exagéraient peut-être un peu, Jean a déclaré que, pour sa part, jamais il ne se permettrait de mettre en cause les évaluations pertinentes de la communauté LGBTQI+++ de Californie, tant elle était à la pointe du progrès. Du coup, tous ces braves gens se sont affairés à sauver la mouche en train de se noyer dans leur verre de vin issu de l’agriculture biologique et éco-responsable.
Il y a des moments où le progrès devrait faire une pause.
Jacques Frantz

1 commentaire

  1. Librement inspiré de Pierre desproges : « Quelle est la différence entre psychose et névrose ? Le psychotique croit qu’que l’humanité est faite de 73 genres différents, et il s’en fait une joie. Le névrosé sait qu’il n’existe que 2 genres, et il s’en fait une catastrophe ! » Et les gens qui vont bien dans tout ça ? Ils se disent que tout tient dans la définition que l’on veut donner du progrès ! C’est plutôt la décadence qui devrait faire une pause, si bien sûr le Seigneur Lui-même ne décide pas de siffler la fin de cette folle partie ! Penser par exemple qu’en 2018 une gamine que je ne nommerai pas et qui aurait eu sa place sur les bancs du lycée plutôt que de faire l’imbécile partout dans le monde, nous annonçait que la race humaine s’étendrait en 2023 si l’on n’arrêtait pas immédiatement d’utiliser les énergies fossiles… oui vous avez bien lu, 2023 !

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