APRÈS L' »AMÉRIQUE S’ENRHUME » NOUS AVONS L' »AMÉRIQUE S’EMBRASE »

APRÈS L‘“AMÉRIQUE S’ENRHUME” NOUS AVONS L’“AMÉRIQUE S’EMBRASE”

Après nous en avoir servi des tartines sur l’Amérique qui s’enrhume avec un virus dont on sait maintenant qu’il ne nécessitait pas un arrêt presque complet de l’économie mondiale, les médias de l’oligarchie nous servent l’“Amérique s’embrase”. La cible, c’est toujours la même, c’est)à-dire Donald Trump. À peu près tout ce qui se passe est de la faute de Trump. Pandémies, tremblements de terre, cyclones, sécheresses, tempêtes de neige ou de grêle, c’est tout de sa faute. À croire que cet homme a des pouvoirs surnaturels.

Le virus dangereux pour la survie de l’humanité, à en croire nos scientifiques officiels, aura finalement fait flop. Attention, je ne dis pas qu’il a été sans conséquences. Mais curieusement, les conséquences se sont davantage exprimées dans la gestion que dans la maladie elle-même. C’est-à-dire que les confinements et autres fermetures et restrictions auront, au bout du compte, fait davantage de dégâts que le virus lui-même. Il aura, comme nous l’avons dit dans ces pages, signifié l’échec total du modèle mondialiste, tant au niveau politique qu’économique.

Cela dit, ce dont je voulais vous parler, c’est de l’après virus, c’est-à-dire la suite des manigances de l’“État profond” pour empêcher l’élection de Donald Trump. Décidément, ce n’est vraiment pas passé. Pourtant, le Président Trump a donné des gages. Il a bombardé la Syrie, il a offert à Israël un règlement du conflit qui l’oppose aux Palestiniens extrêmement favorable, il a mis l’Iran au pas, que demander de plus? L’oligarchie devrait être pleinement satisfaite… À croire que ça ne leur suffit jamais.

Donc cette fois-ci c’est un noir victime de violences policières. Et je ne te le cache pas cher lecteur, j’ai peur. J’ai franchement peur que ça ne marche pas.

Récapitulons:
Le plan du virus exterminator est en train d’échouer. Certes, aux États-Unis il a permis d’endommager suffisamment l’économie de sorte qu’à l’issue du mandat du Président les chiffres, jusque-là insolents, soient un peu moins favorables, mais dans le même temps, malgré la propagande médiatique qui assénait à longueur de journée que Trump était tout sauf l’homme de la situation, eh bien on s’est rendu compte que finalement, Trump et les populistes avaient raison sur à peu près toute la ligne. De plus, le virus a été encore plus néfaste pour la campagne de Joe Biden que pour celle de Trump. Le tocard des démocrates a été en effet plus inaudible. Une vraie catastrophe.

Ensuite, il a fallu lancer plus tôt que prévu le second volet du plan anti-trump. Les émeutes raciales. Ça c’est un truc qui marche assez bien en général. Quand la gauche veut se refaire la cerise, elle agite les zones “racisées”. Ça marche presque à tous les coups. Quoiqu’ils fassent, les dirigeants au pouvoir se feront traiter de racistes. C’est comme un gaz paralysant. Une fois que vous êtes estampillé “raciste” vous ne pouvez plus bouger. Aucun de vos arguments n’est audible. Sauf que dans cette histoire d’émeutes raciales, rien ne se passe comme prévu:

D’abord le deuxième étage de la fusée s’est allumé trop tôt. Je veux dire par là que le virus était prévu pour durer davantage, et le deuxième volet du plan aurait dû démarrer plus tard. Car le deuxième étage de la fusée, (les émeutes) étaient sensé fournir le carburant du troisième étage, à savoir le lancement de la campagne de Michele Obama.

Bon je l’ai dit Biden est un Tocard et franchement, on ne voit pas comment il pourrait aller au bout. Je crois du reste qu’il n’était pas fait pour aller au bout, mais simplement pour écraser Berny Sanders. Certes on voit de tout en politique, mais je n’ai jamais vu un type se faire autant humilier par son propre camp. Peut-être aime-t-il ça? À mon avis, à la maison c’est lui la femme. Revenons à notre fusée. Biden aurait dû cramer en même temps que l’Amérique. C’est-à-dire que pendant que Biden jette ses dernières forces dans la campagne, on attise les émeutes pour faire sortir “big Mike”, donc une femme noire (femme sur le papier en tous cas) pour apaiser la situation. L’effet de sidération des émeutes combiné à l’effet de sidération de “big Mike” venue en sauveur de l’Amérique car seule capable d’apaiser la colère des noirs aurait dû sinon clouer sur place la candidature Trump, ou tout au moins faire en sorte que la défaite démocrate ne soit pas complètement ridicule.

Hélas, avec Trump, rien ne se passe comme prévu, à commencer par son élection.

Pour le virus, il ne s’est pas laissé faire. C’est-à-dire qu’il ne s’est pas laissé mal conseiller par ses experts vendus, de toute évidence à d’autres intérêts que l’intérêt général. Le confinement (lock down) n’a pas si bien fonctionné que cela aux États-Unis.

Du coup, les émeutes ont été déclenchées plus tôt que prévu. Trop tôt pour la grosse Obama, incapable, intellectuellement de tenir une campagne trop longue. Michele Obama n’est en effet pas une politicienne, mais un produit politique. À l’opposé donc de Donald Trump. Le dilemme est donc le suivant, soit Michele se lance au moment prévu sans profiter des émeutes dont l’effet de sidération se sera bien estompé, soit elle se lance maintenant, au risque de s’épuiser dans une campagne trop longue. Si l’étage de la fusée s’allume trop tôt, la fusée risque de ne jamais rejoindre son objectif.

La suite demain.

Jacques Frantz

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