JUSQU’OÙ VONT-ILS DESCENDRE?

JUSQU’OÙ VONT-ILS DESCENDRE?

Michel Déon interdit de repos éternel à Paris.

Décidément, il semble que rien ne peut arrêter la maire Hidalgo.

Elle qui sait si bien se présenter en victime de la prétendue fachosphère à laquelle j’espère avoir l’honneur d’appartenir, n’hésite pas à cogner sur les plus faibles. Or ici, rien de plus facile puisqu’il s’agit d’un mort. Sauf que pour la maire Hidalgo, un mort de droite reste de droite même après être passé par l’incinérateur.

Ainsi, la cruche en vélib de son vrai nom Ana Maria Hidalgo Aleu, se croit intelligente en s’agrippant derrière un subterfuge administratif pour refuser quoi? Un logement à un migrant? Pensez-vous!!! Pour refuser une place dans un misérable columbarium parisien. Motif? Le défunt était de droite. Que l’intégriste des voies sur berges n’aime pas les gens de droite, ça peut se comprendre. Moi-même je serais fort marri d’occuper une place, même modeste, dans l’estime de celle dont la seule compétence est de se faire élire et de pourrir la vie des gens.

Cependant, on peut ne pas aimer, mais ne pas aimer ne nous empêche pas de respecter. Et un mort, même de droite, ça se respecte. Si Hidalgo avait un soupçon de dignité, elle serait honorée que Michel Déon ait choisi de reposer en Paris. Grand littéraire, (ce que Hidalgo ne sera jamais), membre de l’Académie française, Michel Déon laisse un patrimoine qui à lui seul devrait lui ouvrir tout au moins les portes d’un cimetière prestigieux. Seulement c’est précisément ce que déteste Hidalgo. Pour elle, les mots France et patrimoine sont des “blasphème”. À telle enseigne qu’elle a souhaité récupérer sa nationalité espagnole en 2003, sans perdre la française généreusement octroyée en 1973 et qui est toujours utile pour faire carrière.

Donc, aussi fine que les particules qui polluent la ville dont elle est en train de faire un taudis, la marchande de vélos hors service n’a rien de mieux à faire que de persécuter les cendres d’un vieux monsieur.

Persécuter des cendres. Jusqu’où va-t-on descendre.

Jacques Frantz

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