BREXIT

BREXIT, ENTENDRE LEURS COMMENTAIRES PATHÉTIQUES ÉTAIT UN VRAI BONHEUR!

Juste un bref papier pour tenter de décrire ma joie après le résultat du référendum venu d’outre-Manche.

Lecteur, tu le sais, je n’ai pas l’habitude d’écrire des choses banales. Pourtant j’avoue peiner à mettre des mots sur la joie que j’ai éprouvée au saut du lit.

En me couchant hier au soir, je me suis dit “c’est plié”. La campagne de propagande massive et violente, l’immonde récupération politique de la mort de Jo Cox, la suspicion de fraude sur le scrutin en Autriche, tout cela me laissait un arrière-goût de pessimisme. Et puis il faut le dire, une certaine habitude d’être dans le camp des perdants me laissait sans illusions. Comme d’habitude, je me suis couché avec le rêve qu’au réveil le monde soit autrement. Or en m’éveillant ce matin, j’ai été envahi d’un bonheur qui a fait fuir mon sommeil. Les entendre sur France Info faisait un immense plaisir. Je crois qu’on n’avait pas connu ça depuis 2002. Quelques enseignements rapides:

Ne les croyez plus quand ils vous promettent la fin du monde;
Ne les croyez plus quand ils menacent;
et surtout, ne croyez plus à leurs sondages. combien de fois faudra-t-il te dire lecteur qu’il ne faut accorder aucun crédit à des instituts de sondage à la fois juges et parties. N’ayez plus peur cette Union Européenne crèvera comme une vulgaire Union Soviétique. La route sera longue, alors Courage!

Jacques Frantz

2 commentaires

  1. Le plus drôle est qu’à 23:00 tapantes à la dégoulinante de France Intox, ils étaient fiers d’annoncer en exclusivité la victoire du camp des « remain », prenant soin toutefois de préciser que l’estimation sortie des urnes se situait encore à l’intérieur de la marge d’erreur des sondages et que le Times, pourtant défavorable au Brexit, n’osait pas s’engager sur le résultat. Ils voyaient un indice dans le fait que le député pro-Brexit qu’ils avaient invité pour midi leur avait fait défaut, et j’en passe… Aujourd’hui en effet, il est jouissif d’entendre leurs commentaires désespérés sur la panique boursière, les risques de « contagion » (ah bon, parce qu’affirmer son droit à disposer de soi-même, c’est une maladie ?), à d’autres pays dont le Danemark au royaume duquel décidément il y a quelque chose qui ne plaît pas à la bien-pensance… La manipulation politico-.médiatique n’aura donc pas fonctionné, nos amis de la « Perfide Albion » ont visiblement trouvé la ficelle trop grosse. À ce délectable billet j’ajoute mes 5 minutes de langue de… vipère, juste parce que… « c’est fou le bien que ça nous fait » !

    1. Eh bien ces cinq minutes sont les bienvenues.

      Pour demeurer dans le répertoire, je dirais que voir les Banksters pleurer c’est « une minute de soleil en plus ». En tous cas ils avaient annoncé que le soleil arrêterait de briller, que la terre arrêterait de tourner, que les rivières arrêteraient de couler et que sais-je encore. Personnellement je me sens plutôt mieux.

      J.F. >

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